Autour de 19H 30 mn, le mercredi 4 juillet 2012, un incendie s’est déclaré au marché Congo de Douala, sur l’axe partant du bar au cinéma étoile. Les flammes sont allées très vite et ont consumé près de trois cent boutiques, causant ainsi d’importants dégâts matériels que les commerçants ont commencé à évaluer depuis hier matin.
A la suite des populations riveraines, des commerçants alertés dès le déclenchement des flammes ont informée les sapeurs pompiers qui ont aperçu la flamme depuis leur base centrale de Ngodi et qui se sont déployés sur les lieux où leur intervention bien qu’efficace s’est rendue complexe du fait de l’absence des bouches d’incendie et des voies d’accès. La nuit a été très longue et c’est au bout de plusieurs heures de rude bataille que les soldats de feu ont pu maîtriser les flammes. A l’aide des moyens de ravitaillement et des stratégies de circonstance qu’ils ont mis sur pied. Les badauds et les pilleurs ont vite investi les lieux pour se livrer à leur sale besogne mais ils se sont heurtés aux forces de maintien de l’ordre déployées sur le site sur instruction du préfet du département du Wouri. Les origines de cet incendie, après celui de mai 2010 restent inconnues et les pertes sont évaluées à des milliards de francs CFA. Le Gouverneur de la région du littoral, BETI ASSOMO, a ordonné l’ouverture d`une enquête administrative pour déterminer les causes exactes de cet incendie, et s’est rendu sur les lieux pour constater les dégâts et réconforter les commerçants et les familles dont certains membres n’ayant pas supporté le choc sont tombés en syncope et ont été conduits dans les centres hospitaliers de la ville de Douala. Il faut reconnaître que les problèmes de ce marché qui est l’un des plus importants de la sous-région d’Afrique centrale, sont restés les mêmes et constituent les causes de ces incendies à répétition. Le projet de reconstruction de ce marché initié par la communauté urbaine de Douala et dont la procédure de passation du marché est en cours de finalisation se rend ainsi impératif, car répondant aux attentes et aux exigences en termes d’architecture, de plan de circulation, de sécurité électrique, et de sécurité des personnes et des biens.
Source camerounlink.net
A la suite des populations riveraines, des commerçants alertés dès le déclenchement des flammes ont informée les sapeurs pompiers qui ont aperçu la flamme depuis leur base centrale de Ngodi et qui se sont déployés sur les lieux où leur intervention bien qu’efficace s’est rendue complexe du fait de l’absence des bouches d’incendie et des voies d’accès. La nuit a été très longue et c’est au bout de plusieurs heures de rude bataille que les soldats de feu ont pu maîtriser les flammes. A l’aide des moyens de ravitaillement et des stratégies de circonstance qu’ils ont mis sur pied. Les badauds et les pilleurs ont vite investi les lieux pour se livrer à leur sale besogne mais ils se sont heurtés aux forces de maintien de l’ordre déployées sur le site sur instruction du préfet du département du Wouri. Les origines de cet incendie, après celui de mai 2010 restent inconnues et les pertes sont évaluées à des milliards de francs CFA. Le Gouverneur de la région du littoral, BETI ASSOMO, a ordonné l’ouverture d`une enquête administrative pour déterminer les causes exactes de cet incendie, et s’est rendu sur les lieux pour constater les dégâts et réconforter les commerçants et les familles dont certains membres n’ayant pas supporté le choc sont tombés en syncope et ont été conduits dans les centres hospitaliers de la ville de Douala. Il faut reconnaître que les problèmes de ce marché qui est l’un des plus importants de la sous-région d’Afrique centrale, sont restés les mêmes et constituent les causes de ces incendies à répétition. Le projet de reconstruction de ce marché initié par la communauté urbaine de Douala et dont la procédure de passation du marché est en cours de finalisation se rend ainsi impératif, car répondant aux attentes et aux exigences en termes d’architecture, de plan de circulation, de sécurité électrique, et de sécurité des personnes et des biens.
Source camerounlink.net
