La conférence préparatoire pour le Sommet de Rio+20 s’est tenue à Brazzaville (Congo) le 5 et le 6 juin 2012. Elle a été placée sous l’égide du président Denis Sassou Nguesso, désigné par ses pairs, porte-parole des chefs d’Etat du continent africain pour ledit Sommet de Rio de Janeiro.
Co-organisée par l’ANEJ (Réseau des Journalistes spécialisés en Environnement) présidé par le mauritanien Sidi El Moctar Cheiguer, qui a décerné, pour l’occasion, le trophée ANEJ - ambassadeur de l’Environnement- au Chef de l’Etat congolais.
Le rendez-vous de Rio+20 sera crucial pour le continent africain. Il déterminera notre développement en harmonie avec la conservation de la flore et de la faune pour les décennies à venir. Jeune par la configuration de sa pyramide démographique, l’Afrique comptera, à moyen terme, 1 milliard de bouche à nourrir. Avec quel type d’agriculture et avec quel moyen de financement ; tels sont les questions centrales qui se joueront au Brésil ?
L’Afrique semble adopter une stratégie tous azimuts.
D’abord, par un partenariat Nord-Sud illustré par une convergence de vue avec l’Europe sur l’instance de gouvernance mondiale pour l’Environnement. Le président Sassou Nguesso dans son allocution d’ouverture souhaite que la transformation du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) en une sorte d’Agence Mondiale de l’Environnement (AME) – avec un siège à Nairobi - que les Etats européens ont appelé de leurs vœux.
Ensuite, le Sommet des 3 Bassins (Congo, Amazonie, Bornéo) démontre également qu’un partenariat Sud-Sud est aujourd’hui une réalité. Car les trois délégations scelleraient leur futur partenariat par une signature d’un protocole lors du Sommet de Rio.
L’Afrique parle-t-elle d’une seule et même voix ?
Le président Denis Sassou Nguesso a encore obtenu cette fois-ci, comme en 2009, au Sommet de Copenhague, l’assentiment de tous ses pairs pour être la Voix du continent. Une cette belle cohérence a été battue en brèche par la position éthiopienne. Cela ne se renouvellera-t-elle pas à Rio ? L’Afrique du Sud, évoluant dans le club des BRICS (Brésil, Inde, Chine, South Africa), ne voudrait-elle pas également adoptée une position convergente avec ses pays émergents ?
Co-organisée par l’ANEJ (Réseau des Journalistes spécialisés en Environnement) présidé par le mauritanien Sidi El Moctar Cheiguer, qui a décerné, pour l’occasion, le trophée ANEJ - ambassadeur de l’Environnement- au Chef de l’Etat congolais.
Le rendez-vous de Rio+20 sera crucial pour le continent africain. Il déterminera notre développement en harmonie avec la conservation de la flore et de la faune pour les décennies à venir. Jeune par la configuration de sa pyramide démographique, l’Afrique comptera, à moyen terme, 1 milliard de bouche à nourrir. Avec quel type d’agriculture et avec quel moyen de financement ; tels sont les questions centrales qui se joueront au Brésil ?
L’Afrique semble adopter une stratégie tous azimuts.
D’abord, par un partenariat Nord-Sud illustré par une convergence de vue avec l’Europe sur l’instance de gouvernance mondiale pour l’Environnement. Le président Sassou Nguesso dans son allocution d’ouverture souhaite que la transformation du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) en une sorte d’Agence Mondiale de l’Environnement (AME) – avec un siège à Nairobi - que les Etats européens ont appelé de leurs vœux.
Ensuite, le Sommet des 3 Bassins (Congo, Amazonie, Bornéo) démontre également qu’un partenariat Sud-Sud est aujourd’hui une réalité. Car les trois délégations scelleraient leur futur partenariat par une signature d’un protocole lors du Sommet de Rio.
L’Afrique parle-t-elle d’une seule et même voix ?
Le président Denis Sassou Nguesso a encore obtenu cette fois-ci, comme en 2009, au Sommet de Copenhague, l’assentiment de tous ses pairs pour être la Voix du continent. Une cette belle cohérence a été battue en brèche par la position éthiopienne. Cela ne se renouvellera-t-elle pas à Rio ? L’Afrique du Sud, évoluant dans le club des BRICS (Brésil, Inde, Chine, South Africa), ne voudrait-elle pas également adoptée une position convergente avec ses pays émergents ?