Après une semaine passée en Côte d’Ivoire, le secrétaire exécutif de Eau et Assainissement pour l’Afrique (EAA) était face à la presse hier vendredi 8 juin 2012 à l’espace CRAE-UEMOA sis au Plateau. Il s’agissait pour Idrissa Doucouré de faire le bilan de sa visite officielle sur les bords de la lagune Ebrié.
Les problèmes d’hygiène, d’eau potable et d’assainissement sont des maux qui plombent le développement en Afrique. Conscient de cela et conformément aux objectifs et missions de EAA, Idrissa Doucouré SG a dit être venu pour relancer les activités au niveau de la Côte d’Ivoire : «Nous sommes venus ici pour relancer les activités de notre agence qui s’étaient vu ralenties par la crise postélectorale » a-t-il dit. Pour ce faire, à en croire M. Doucouré, plusieurs rencontres ont été au menu de cette mission qu’il a effectuée en terre ivoirienne. Des ministères comme ceux de la Construction, de l’Assainissement et de l’Urbanisme, des Infrastructures économiques et de la Santé et de la lutte contre le Sida ont tous échangé avec la délégation de M Doucouré sur les questions d’eau et d’assainissement, essentielles pour relever les défis majeurs qui attendent l’Afrique.
Car a dit le conférencier : «On ne peut parler de pays émergents si ces problèmes de base ne sont pas réglés». En pratique, l’agence panafricaine intergouvernementale qui a déjà développé des programmes à grande échelle dans les quartiers modestes d’Abobo-Sagbé, de Yopougon-Koweït et dans les villes de Katiola, Ferké et Kong, envisage investir 5 milliards pour le bien-être des populations. Toujours, à l’en croire, cet investissement permettra de construire 200 habitats sociaux et d’offrir de l’eau potable à 1.5 million d’Ivoiriens d’ici à l’horizon 2015. Important, d’autant plus que 7700 enfants meurent chaque année, faute de service d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement. L’Agence Panafricaine Intergouvernementale Eau et Assainissement pour l’Afrique (EAA) est une institution spécialisée dans les questions d’hygiène, d’assainissement et d’eau potable, regroupant 22 pays africains. Elle œuvre, depuis 22 ans, par la construction de pompes foraines, de latrines sèches, de vidange de fosses, etc., à améliorer les conditions de vie des populations démunies vivant en milieux rural, urbain et périurbain.
JG Tapé
Les problèmes d’hygiène, d’eau potable et d’assainissement sont des maux qui plombent le développement en Afrique. Conscient de cela et conformément aux objectifs et missions de EAA, Idrissa Doucouré SG a dit être venu pour relancer les activités au niveau de la Côte d’Ivoire : «Nous sommes venus ici pour relancer les activités de notre agence qui s’étaient vu ralenties par la crise postélectorale » a-t-il dit. Pour ce faire, à en croire M. Doucouré, plusieurs rencontres ont été au menu de cette mission qu’il a effectuée en terre ivoirienne. Des ministères comme ceux de la Construction, de l’Assainissement et de l’Urbanisme, des Infrastructures économiques et de la Santé et de la lutte contre le Sida ont tous échangé avec la délégation de M Doucouré sur les questions d’eau et d’assainissement, essentielles pour relever les défis majeurs qui attendent l’Afrique.
Car a dit le conférencier : «On ne peut parler de pays émergents si ces problèmes de base ne sont pas réglés». En pratique, l’agence panafricaine intergouvernementale qui a déjà développé des programmes à grande échelle dans les quartiers modestes d’Abobo-Sagbé, de Yopougon-Koweït et dans les villes de Katiola, Ferké et Kong, envisage investir 5 milliards pour le bien-être des populations. Toujours, à l’en croire, cet investissement permettra de construire 200 habitats sociaux et d’offrir de l’eau potable à 1.5 million d’Ivoiriens d’ici à l’horizon 2015. Important, d’autant plus que 7700 enfants meurent chaque année, faute de service d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement. L’Agence Panafricaine Intergouvernementale Eau et Assainissement pour l’Afrique (EAA) est une institution spécialisée dans les questions d’hygiène, d’assainissement et d’eau potable, regroupant 22 pays africains. Elle œuvre, depuis 22 ans, par la construction de pompes foraines, de latrines sèches, de vidange de fosses, etc., à améliorer les conditions de vie des populations démunies vivant en milieux rural, urbain et périurbain.
JG Tapé
