Le représentant spécial du secrétaire général de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire Bert Koenders était le lundi 9 juillet 2012 l’invité de Onuci-Fm . Il a saisi l’occasion pour se prononcer sur les enquêtes relatives à la mort de sept casques bleus nigériens à Para dans la sous-préfecture de Taï.
Huit civils et sept casques bleus nigériens sont tombés dans une embuscade qui leur a coûté la mort le 8 juin 2012 à Para, localité située dans la sous-préfecture de Taï. Si le Rassemblement des républicains (RDR) a attribué cet acte aux ex-miliciens pro-Gbagbo, le Front populaire ivoirien (Fpi) a évoqué la piste des Burkinabés. Le patron de l’Onuci Bert Koenders a tranché sur la radio de la paix en faisant remarquer que les enquêtes se poursuivent. « Il y a un groupe organisé qui veut détruire la réconciliation. Alors, il faut être vigilant. Qui sont t-ils ? Nous sommes en train de nous interroger. On avance les recherches pour retrouver les coupables. Ces coupables seront retrouvés. Nous faisons des investigations. Mais je ne le dirai pas en public. C’est en profondeur qu’on le fait. Je n’aime pas les rumeurs », a regretté le représentant spécial de Ban-Ki Moon en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, l’Onuci a exigé récemment que la Commission électorale indépendante (Cei) publie les résultats des législatives à Bonon et à Facobly. Le patron de l’Institution explique : « J’ai le mandat de certification. Je veux finaliser cette certification avant d’aller à la réunion du Conseil de sécurité parce qu’ils vont demander ce qui s’est passé à Bonon et Facobly et pourquoi il n’ y a pas encore eu de résultats ». Il a souligné qu’il est important que les populations de ces localités sachent ce qui s’est réellement passé. Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies prendra part la semaine prochaine à une réunion du Conseil de sécurité qui discutera d’une éventuelle prorogation du mandat de l’Onuci. « Je sais que le Conseil de sécurité veut que nous restons quelques temps encore en Côte d’Ivoire. Mais le mandat exact, ce n’est pas moi qui le décide. C’est le Conseil de sécurité », a-t-il laissé entendre.
TAB
Huit civils et sept casques bleus nigériens sont tombés dans une embuscade qui leur a coûté la mort le 8 juin 2012 à Para, localité située dans la sous-préfecture de Taï. Si le Rassemblement des républicains (RDR) a attribué cet acte aux ex-miliciens pro-Gbagbo, le Front populaire ivoirien (Fpi) a évoqué la piste des Burkinabés. Le patron de l’Onuci Bert Koenders a tranché sur la radio de la paix en faisant remarquer que les enquêtes se poursuivent. « Il y a un groupe organisé qui veut détruire la réconciliation. Alors, il faut être vigilant. Qui sont t-ils ? Nous sommes en train de nous interroger. On avance les recherches pour retrouver les coupables. Ces coupables seront retrouvés. Nous faisons des investigations. Mais je ne le dirai pas en public. C’est en profondeur qu’on le fait. Je n’aime pas les rumeurs », a regretté le représentant spécial de Ban-Ki Moon en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, l’Onuci a exigé récemment que la Commission électorale indépendante (Cei) publie les résultats des législatives à Bonon et à Facobly. Le patron de l’Institution explique : « J’ai le mandat de certification. Je veux finaliser cette certification avant d’aller à la réunion du Conseil de sécurité parce qu’ils vont demander ce qui s’est passé à Bonon et Facobly et pourquoi il n’ y a pas encore eu de résultats ». Il a souligné qu’il est important que les populations de ces localités sachent ce qui s’est réellement passé. Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies prendra part la semaine prochaine à une réunion du Conseil de sécurité qui discutera d’une éventuelle prorogation du mandat de l’Onuci. « Je sais que le Conseil de sécurité veut que nous restons quelques temps encore en Côte d’Ivoire. Mais le mandat exact, ce n’est pas moi qui le décide. C’est le Conseil de sécurité », a-t-il laissé entendre.
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