L’Ecole Normale Supérieur (ENS) était en fête. Etudiants et personnels administratifs ont pris d’assaut le lundi 9 juillet 2012, les locaux de ladite école qui ont servi de cadre à la cérémonie de lancement des travaux de réhabilitation et des nouvelles reformes académiques de ce temple du savoir.
Le directeur général de l’ENS, le professeur Sidibé Valy, veut donner un nouveau départ à son école. Il s’agit de mettre l’ENS sur les rails, corriger les dysfonctionnements de cette école tout en lui redonnant son lustre d’antan. Pour ce faire, inclus dans un programme global dénommé «Le nouveau départ» et bénéficiant du PPU (programme présidentiel d’urgence) les premières reformes en dehors de la réhabilitation des salles de classe et des amphis ainsi que le renouvellement du matériel didactique et l’instauration du système LMD (Licence- master- doctorat), de la mandature du professeur Sidibé Valy sont l’uniformisation des tenues vestimentaires et le salut aux couleurs, désormais institutionnalisés chez les normaliens. Toute chose que, pour la représentante du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Ediémé Mansylla a saluée. «Merci d’avoir réinstauré ce symbole. Un peuple sans valeur, est un peuple qui se meurt», a-t-elle dit. Aussi, le professeur Ediémé Mansylla a-t-elle demandé aux étudiants et responsables administratifs de combattre la médiocrité. Pour le Pr. Sidibé Valy, ‘’enseigner est un sacerdoce’’. Mais à travers les grandes reformes qu’il envisage, poursuit-il, c’est un nouveau départ qui aura des répercutions sur l’ensemble de l’enseignement supérieur. Aussi prévoit-il la mise en place d’un cadre de vie adéquat et propice aussi bien aux enseignés qu’aux enseignants car dira-t-il, « nous voulons faire de l’ENS non pas un pôle nationale, mais un pôle sous-régionale». Au nom des étudiants, Denou Baerou Donatien, porte-parole, a des certaines doléances dont le paiement régulier des bourses d’études, le retour du statut d’élève fonctionnaire perdu depuis longtemps et les émoluments y afférents.
A Dedi
Le directeur général de l’ENS, le professeur Sidibé Valy, veut donner un nouveau départ à son école. Il s’agit de mettre l’ENS sur les rails, corriger les dysfonctionnements de cette école tout en lui redonnant son lustre d’antan. Pour ce faire, inclus dans un programme global dénommé «Le nouveau départ» et bénéficiant du PPU (programme présidentiel d’urgence) les premières reformes en dehors de la réhabilitation des salles de classe et des amphis ainsi que le renouvellement du matériel didactique et l’instauration du système LMD (Licence- master- doctorat), de la mandature du professeur Sidibé Valy sont l’uniformisation des tenues vestimentaires et le salut aux couleurs, désormais institutionnalisés chez les normaliens. Toute chose que, pour la représentante du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Ediémé Mansylla a saluée. «Merci d’avoir réinstauré ce symbole. Un peuple sans valeur, est un peuple qui se meurt», a-t-elle dit. Aussi, le professeur Ediémé Mansylla a-t-elle demandé aux étudiants et responsables administratifs de combattre la médiocrité. Pour le Pr. Sidibé Valy, ‘’enseigner est un sacerdoce’’. Mais à travers les grandes reformes qu’il envisage, poursuit-il, c’est un nouveau départ qui aura des répercutions sur l’ensemble de l’enseignement supérieur. Aussi prévoit-il la mise en place d’un cadre de vie adéquat et propice aussi bien aux enseignés qu’aux enseignants car dira-t-il, « nous voulons faire de l’ENS non pas un pôle nationale, mais un pôle sous-régionale». Au nom des étudiants, Denou Baerou Donatien, porte-parole, a des certaines doléances dont le paiement régulier des bourses d’études, le retour du statut d’élève fonctionnaire perdu depuis longtemps et les émoluments y afférents.
A Dedi