Une signature de convention de financement de projets et des contrats de performance applicables aux coordonnateurs de projets financés par la Banque mondiale a réuni le Premier ministre Jeannot Ahoussou-Kouadio, des ministres, des coordonnateurs de projet de la Banque mondiale et le directeur des opérations, Madani Tall. C’était le jeudi 12 juillet 2012 au sein de la Primature.
C’est une vingtaine de projets dans les domaines de la santé, l’éducation, les infrastructures, l’énergie, les mines, l’emploi, l’entrepreneuriat, l’agriculture, l’environnement et la gouvernance d’une valeur avoisinant les 400 milliards de FCFA qui ont été ainsi signés. Avec pour objectif de donner une responsabilité plus accrue aux coordonnateurs et évaluer à échéance leurs capacités pour l’amélioration de leurs performances et la viabilité de leurs projets. Cette signature de convention doit renforcer la performance du portefeuille et accroître les investissements des bailleurs dans un contexte de relance économique et de reconstruction post crise. Le gouvernement va affecter aux gestionnaires de projets des bailleurs, un contrat d’objectifs et de performances qui les conduira à une gestion axée sur le résultat. Par ces actions, l’Etat ivoirien veut à terme créer les conditions d’une gestion efficace des projets d’investissements afin de mobiliser plus de ressources. Ces mesures vont s’étendre à l’ensemble des projets financés par les autres partenaires dans la perspective d’une rationalisation et optimisation de l’allocation des ressources. Pour le Premier ministre Ahoussou- Kouadio, cette cérémonie est le gage de la bonne gouvernance que l’administration Ouattara s’applique à mettre en place. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a abondé dans le même sens que le Premier ministre. Il a ajouté que la coopération Banque mondiale-Côte d’Ivoire représente plus de 50% du financement de l’ensemble des bailleurs. La Côte d’Ivoire a atteint en 2011 un taux annuel de décaissement de 39%, taux d’absorption de ressources nettement supérieur au plan régional de 16%. La Côte d’Ivoire est le premier pays en Afrique de l’Ouest à forte capacité d’absorption de ressources de la Banque mondiale. «La Côte d’Ivoire doit désormais être un exemple en matière de bonne utilisation des contributions des partenaires», souhaite le ministre de l’Economie et des Finances. Pierre Dimba, coordonnateur du projet d’urgence d’infrastructures urbaines (PUIUR), le plus connu des projets de la Banque mondiale, approché à la sortie, a souligné que loin de mettre plus de pression, cette signature, est un encouragement, plus de responsabilité à mieux faire pour aller plus loin.
FO
C’est une vingtaine de projets dans les domaines de la santé, l’éducation, les infrastructures, l’énergie, les mines, l’emploi, l’entrepreneuriat, l’agriculture, l’environnement et la gouvernance d’une valeur avoisinant les 400 milliards de FCFA qui ont été ainsi signés. Avec pour objectif de donner une responsabilité plus accrue aux coordonnateurs et évaluer à échéance leurs capacités pour l’amélioration de leurs performances et la viabilité de leurs projets. Cette signature de convention doit renforcer la performance du portefeuille et accroître les investissements des bailleurs dans un contexte de relance économique et de reconstruction post crise. Le gouvernement va affecter aux gestionnaires de projets des bailleurs, un contrat d’objectifs et de performances qui les conduira à une gestion axée sur le résultat. Par ces actions, l’Etat ivoirien veut à terme créer les conditions d’une gestion efficace des projets d’investissements afin de mobiliser plus de ressources. Ces mesures vont s’étendre à l’ensemble des projets financés par les autres partenaires dans la perspective d’une rationalisation et optimisation de l’allocation des ressources. Pour le Premier ministre Ahoussou- Kouadio, cette cérémonie est le gage de la bonne gouvernance que l’administration Ouattara s’applique à mettre en place. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, a abondé dans le même sens que le Premier ministre. Il a ajouté que la coopération Banque mondiale-Côte d’Ivoire représente plus de 50% du financement de l’ensemble des bailleurs. La Côte d’Ivoire a atteint en 2011 un taux annuel de décaissement de 39%, taux d’absorption de ressources nettement supérieur au plan régional de 16%. La Côte d’Ivoire est le premier pays en Afrique de l’Ouest à forte capacité d’absorption de ressources de la Banque mondiale. «La Côte d’Ivoire doit désormais être un exemple en matière de bonne utilisation des contributions des partenaires», souhaite le ministre de l’Economie et des Finances. Pierre Dimba, coordonnateur du projet d’urgence d’infrastructures urbaines (PUIUR), le plus connu des projets de la Banque mondiale, approché à la sortie, a souligné que loin de mettre plus de pression, cette signature, est un encouragement, plus de responsabilité à mieux faire pour aller plus loin.
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