Le gouvernement ivoirien et l'ONU se sont rejeté samedi la responsabilité de protéger le camp de déplacés de l'ouest de la Côte d'Ivoire qui a subi vendredi une attaque meurtrière avant d'être détruit.
Le camp de Nahibly, abritant quelque 5.000 personnes déplacées lors de la crise de 2010-2011 et voisin de la ville de Duékoué, était "gardé depuis sa création par les Casques bleus de l'Onuci", la mission onusienne dans le pays, a affirmé le ministère ivoirien de la Défense dans un communiqué lu sur la télévision publique RTI.
En ce qui concerne la sécurité du camp, "la responsabilité première n'est pas la responsabilité de l'Onuci, mais nous avions toujours travaillé avec les autorités pour la gestion de ce camp", a déclaré de son côté un peu plus tôt... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le camp de Nahibly, abritant quelque 5.000 personnes déplacées lors de la crise de 2010-2011 et voisin de la ville de Duékoué, était "gardé depuis sa création par les Casques bleus de l'Onuci", la mission onusienne dans le pays, a affirmé le ministère ivoirien de la Défense dans un communiqué lu sur la télévision publique RTI.
En ce qui concerne la sécurité du camp, "la responsabilité première n'est pas la responsabilité de l'Onuci, mais nous avions toujours travaillé avec les autorités pour la gestion de ce camp", a déclaré de son côté un peu plus tôt... suite de l'article sur Jeune Afrique