Le fruit aura tenu la promesse des fleurs. Plusieurs personnalités étrangères et l’Etat béninois représenté au plus haut niveau, des lauréats qui font l’unanimité, au vu de leur parcourt professionnel, la 3e édition du « cauri international du mérite et de l’excellence » qui a eu lieu mardi, 31 juillet 2012, dans un grand hôtel de Cotonou, la capitale économique du Bénin, a ténu ses promesses. La Côte d’Ivoire qui était représentée à deux niveaux, a été doublement honorée.
En effet, la Grande Chancelière Mme Henriette Dagri Diabaté a été choisie par les organisateurs pour être la marraine de cette cérémonie. Ceux-ci ont expliqué leur choix par l’engagement personnel et constant de la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire dans la promotion du mérite et de l’excellence. Le président de la Commission de dialogue, vérité et réconciliation, Charles Konan Banny, en sa qualité d’ancien Gouverneur de la BCEAO, a été l’un des trois lauréats de ce Prix. Il a été primé dans la catégorie de meilleur manager d’institution bancaire centrale, car ayant été le Gouverneur de la BCEAO pendant 15 ans et contribué à asseoir des institutions financières sous-régionales.
Dans son discours introductif, le Président Directeur de l’Institut Manus-Fran.C.E, Emmanuel Dossou s’est félicité de la présence des lauréats, Konan Banny et Edem Kodjo (Ancien Secrétaire général de l’OUA), et du Premier ministre Béninois, Pascal Houpaki, représentant le 3e lauréat, le Président Boni Yayi (ancien président de la BOAD). Il a, en outre, ajouté que les trois lauréats, par leurs actions personnelles, à la tête des institutions qu’ils ont dirigées, ont contribué à « ouvrir la voie à l’espérance en faisant transparaitre l’image d’une Afrique porteuse d’espoir ».
Mme Osséni s’est félicitée de la présence de son homologue ivoirienne dont elle a salué les qualités morales et intellectuelles. Une icône de « fidélité et de loyauté » a-t-elle dit de Mme Diabaté.
La marraine de la cérémonie du jour, Mme Henriette Diabaté, s’est réjouie de partager ce moment de réflexion et de célébration du mérite et de l’excellence avec le peuple béninois. Il ne pouvait en être autrement, en ce sens que les objectifs de l’Institut Manus-Fran C.E rejoignent ceux de la Grande Chancellerie à savoir l’incitation à l’effort personnel, l’excellence et à la « transmission d’expérience et de valeurs républicaines, entre aînés et cadets.» D’où, a-t-elle ajouté, la nécessité pour les dirigeants africains de poser des « actes concrets qui donnent confiance aux jeunes en leur fournissant des repères à comprendre, à imiter et même à dépasser.»
Edem Kodjo, est intervenu sur le thème : « Les défis de la jeunesse pour une Afrique ambitieuse et bien gérée ». L’orateur s’est attelé à relever les obstacles à l’intégration africaine, seul gage d’une Afrique forte au triple plans économique, politique et diplomatique, c’est-à-dire une Afrique qui compte dans le monde. Il s’en est suivi des débats auquel a pris part le président de la CDVR, Charles Konan Banny.
Service de Communication
En effet, la Grande Chancelière Mme Henriette Dagri Diabaté a été choisie par les organisateurs pour être la marraine de cette cérémonie. Ceux-ci ont expliqué leur choix par l’engagement personnel et constant de la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire dans la promotion du mérite et de l’excellence. Le président de la Commission de dialogue, vérité et réconciliation, Charles Konan Banny, en sa qualité d’ancien Gouverneur de la BCEAO, a été l’un des trois lauréats de ce Prix. Il a été primé dans la catégorie de meilleur manager d’institution bancaire centrale, car ayant été le Gouverneur de la BCEAO pendant 15 ans et contribué à asseoir des institutions financières sous-régionales.
Dans son discours introductif, le Président Directeur de l’Institut Manus-Fran.C.E, Emmanuel Dossou s’est félicité de la présence des lauréats, Konan Banny et Edem Kodjo (Ancien Secrétaire général de l’OUA), et du Premier ministre Béninois, Pascal Houpaki, représentant le 3e lauréat, le Président Boni Yayi (ancien président de la BOAD). Il a, en outre, ajouté que les trois lauréats, par leurs actions personnelles, à la tête des institutions qu’ils ont dirigées, ont contribué à « ouvrir la voie à l’espérance en faisant transparaitre l’image d’une Afrique porteuse d’espoir ».
Mme Osséni s’est félicitée de la présence de son homologue ivoirienne dont elle a salué les qualités morales et intellectuelles. Une icône de « fidélité et de loyauté » a-t-elle dit de Mme Diabaté.
La marraine de la cérémonie du jour, Mme Henriette Diabaté, s’est réjouie de partager ce moment de réflexion et de célébration du mérite et de l’excellence avec le peuple béninois. Il ne pouvait en être autrement, en ce sens que les objectifs de l’Institut Manus-Fran C.E rejoignent ceux de la Grande Chancellerie à savoir l’incitation à l’effort personnel, l’excellence et à la « transmission d’expérience et de valeurs républicaines, entre aînés et cadets.» D’où, a-t-elle ajouté, la nécessité pour les dirigeants africains de poser des « actes concrets qui donnent confiance aux jeunes en leur fournissant des repères à comprendre, à imiter et même à dépasser.»
Edem Kodjo, est intervenu sur le thème : « Les défis de la jeunesse pour une Afrique ambitieuse et bien gérée ». L’orateur s’est attelé à relever les obstacles à l’intégration africaine, seul gage d’une Afrique forte au triple plans économique, politique et diplomatique, c’est-à-dire une Afrique qui compte dans le monde. Il s’en est suivi des débats auquel a pris part le président de la CDVR, Charles Konan Banny.
Service de Communication