C’est un lieu commun d’affirmer que le Front populaire ivoirien est fou de rage devant les différents succès enregistrés par la Côte d’Ivoire depuis l’avènement du président de la République, Alassane Ouattara, au pouvoir d’Etat en Avril 2011.
En effet, depuis qu’il est aux affaires en Côte d’Ivoire, l’ancien directeur général adjoint du FMI ne ménage aucun effort pour le repositionnement diplomatique, la renaissance politique et surtout économique de son pays. Rassembleur, Ouattara parcourt le monde entier pour faire de la Côte d’Ivoire ‘’l’amie de tous et l’ennemie de personne’’.
De l’Afrique à l’Amérique en passant par l’Asie et l’Europe, le pays dont l’image était fortement détériorée dans un passé récent a retrouvé toute sa dignité et la considération sur la scène internationale. L’offensive diplomatique engagée dans tout le monde entier par le chef de l’exécutif ivoirien a, en outre, porté ses fruits. La paix, le rassemblement, la réconciliation nationale, la cohésion sociale, la rigueur, la compétence… inscrits au c?ur de l’action gouvernementale a redonné confiance aux investisseurs et autres partenaires économiques de la Côte d’Ivoire.
Désormais positionnée comme le pays phare de l’Afrique de l’Ouest, véritable porte d’entrée du gros marché de la partie occidentale du continent noir, la Côte d’Ivoire en l’espace d’un an de gestion d’Alassane Ouattara, est devenue une destination prisée des hommes d’affaires des quatre coins du monde. Américains, Européens, Chinois, Israéliens, Arabes, pour ne citer que ces grands du monde, se bousculent pour saisir les nombreuses opportunités d’affaires qu’offre ce pays. A côté de cela, les institutions financières qui approuvent la gestion rigoureuse des affaires de l’Etat par le numéro un ivoirien accompagnent la relance économique du pays qui sort d’une crise aigue.
En témoigne l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE, fruit des efforts de bonne gouvernance et de rigueur de l’administration Ouattara. Sur tous les fronts, le président de la République multiplie les efforts à l’intérieur à travers la réalisation des grands projets de son programme de gouvernement pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Tout le monde en convient aujourd’hui, le pays est en chantier. Le réseau routier retrouve peu à peu son éclat d’antan, les ponts poussent de partout et la côte d’Ivoire est sur le bon chemin de son développement et de sa prospérité.
Evidemment, cela n’est pas du goût de ceux qui l’ont plongée pendant 10 ans de gestion dans la guerre et l’abîme totale. Ces derniers ressentent chaque coup d’éclat de la gouvernance actuelle comme une véritable dague en pein c?ur. Ils ont si mal de voir poindre à l’horizon ce qui ressemble à s’y méprendre au « miracle ivoirien » d’Houphouët-Boigny, qu’ils mettent tout en ?uvre pour y mettre un frein.
Le FPI, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a ainsi décidé de bloquer la marche de la Côte d’Ivoire paisible, développée et prospère. Ses tenants actuels s’illustrent chaque jour dans des formules arrière-gardistes du genre : «bientôt ce sera le match retour ». son secrétaire général, le truculent Laurent Akoun, ne prend guère de gants pour afficher son hostilité à l’égard des succès glanés par le gouvernement Ouattara.
Pis, il ne manque aucune occasion d’appeler carrément à la sédition. Il ne fait aucun mystère de sa volonté de porter un coup fatal aux institutions de la république, y compris celui qui les incarne. Avec lui, un activiste de la dernière heure, Koua Justin, ci-devant secrétaire général intérimaire de la JFPI, qui se spécialise dans la provocation par ses appels incessants au soulèvement, à la belligérance. Morceau choisit : «Aussi vite ce régime chutera, vite les Ivoiriens se porteront mieux. Je suis pressé de voir sa chute», a-t-il annoncé samedi dernier, au cours d’une conférence de presse.
Ces chauffages à blanc presque quotidiens, ont évidemment des répercussions sur leurs destinataires. C’est ce qui explique l’entrée en action ces dernières semaines de la branche armée du FPI (miliciens, mercenaire et ex-FDS en exil), qui multiplie les attaques dirigées contre les positions et des camps de FRCI. On comprend du coup aisément le refus des frontistes à s’inscrire dans la dynamique de paix et de réconciliation. A leurs yeux, la réussite du chef de l’Etat consacre leur défaite totale et la grande erreur qu’auront commise les Ivoiriens en leur confiant, voilà dix ans en arrière, leur destinée. Il faut donc empêcher le pouvoir actuel de gouverner au risque de voir le peuple ivoirien tourner définitivement le dos au FPI.
Lacina Ouattara
En effet, depuis qu’il est aux affaires en Côte d’Ivoire, l’ancien directeur général adjoint du FMI ne ménage aucun effort pour le repositionnement diplomatique, la renaissance politique et surtout économique de son pays. Rassembleur, Ouattara parcourt le monde entier pour faire de la Côte d’Ivoire ‘’l’amie de tous et l’ennemie de personne’’.
De l’Afrique à l’Amérique en passant par l’Asie et l’Europe, le pays dont l’image était fortement détériorée dans un passé récent a retrouvé toute sa dignité et la considération sur la scène internationale. L’offensive diplomatique engagée dans tout le monde entier par le chef de l’exécutif ivoirien a, en outre, porté ses fruits. La paix, le rassemblement, la réconciliation nationale, la cohésion sociale, la rigueur, la compétence… inscrits au c?ur de l’action gouvernementale a redonné confiance aux investisseurs et autres partenaires économiques de la Côte d’Ivoire.
Désormais positionnée comme le pays phare de l’Afrique de l’Ouest, véritable porte d’entrée du gros marché de la partie occidentale du continent noir, la Côte d’Ivoire en l’espace d’un an de gestion d’Alassane Ouattara, est devenue une destination prisée des hommes d’affaires des quatre coins du monde. Américains, Européens, Chinois, Israéliens, Arabes, pour ne citer que ces grands du monde, se bousculent pour saisir les nombreuses opportunités d’affaires qu’offre ce pays. A côté de cela, les institutions financières qui approuvent la gestion rigoureuse des affaires de l’Etat par le numéro un ivoirien accompagnent la relance économique du pays qui sort d’une crise aigue.
En témoigne l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE, fruit des efforts de bonne gouvernance et de rigueur de l’administration Ouattara. Sur tous les fronts, le président de la République multiplie les efforts à l’intérieur à travers la réalisation des grands projets de son programme de gouvernement pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Tout le monde en convient aujourd’hui, le pays est en chantier. Le réseau routier retrouve peu à peu son éclat d’antan, les ponts poussent de partout et la côte d’Ivoire est sur le bon chemin de son développement et de sa prospérité.
Evidemment, cela n’est pas du goût de ceux qui l’ont plongée pendant 10 ans de gestion dans la guerre et l’abîme totale. Ces derniers ressentent chaque coup d’éclat de la gouvernance actuelle comme une véritable dague en pein c?ur. Ils ont si mal de voir poindre à l’horizon ce qui ressemble à s’y méprendre au « miracle ivoirien » d’Houphouët-Boigny, qu’ils mettent tout en ?uvre pour y mettre un frein.
Le FPI, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a ainsi décidé de bloquer la marche de la Côte d’Ivoire paisible, développée et prospère. Ses tenants actuels s’illustrent chaque jour dans des formules arrière-gardistes du genre : «bientôt ce sera le match retour ». son secrétaire général, le truculent Laurent Akoun, ne prend guère de gants pour afficher son hostilité à l’égard des succès glanés par le gouvernement Ouattara.
Pis, il ne manque aucune occasion d’appeler carrément à la sédition. Il ne fait aucun mystère de sa volonté de porter un coup fatal aux institutions de la république, y compris celui qui les incarne. Avec lui, un activiste de la dernière heure, Koua Justin, ci-devant secrétaire général intérimaire de la JFPI, qui se spécialise dans la provocation par ses appels incessants au soulèvement, à la belligérance. Morceau choisit : «Aussi vite ce régime chutera, vite les Ivoiriens se porteront mieux. Je suis pressé de voir sa chute», a-t-il annoncé samedi dernier, au cours d’une conférence de presse.
Ces chauffages à blanc presque quotidiens, ont évidemment des répercussions sur leurs destinataires. C’est ce qui explique l’entrée en action ces dernières semaines de la branche armée du FPI (miliciens, mercenaire et ex-FDS en exil), qui multiplie les attaques dirigées contre les positions et des camps de FRCI. On comprend du coup aisément le refus des frontistes à s’inscrire dans la dynamique de paix et de réconciliation. A leurs yeux, la réussite du chef de l’Etat consacre leur défaite totale et la grande erreur qu’auront commise les Ivoiriens en leur confiant, voilà dix ans en arrière, leur destinée. Il faut donc empêcher le pouvoir actuel de gouverner au risque de voir le peuple ivoirien tourner définitivement le dos au FPI.
Lacina Ouattara