Des transporteurs et quelques syndicats de transporteurs ont contraint les services de la mairie d’Abobo à fermer au cours de la journée du mardi 21 août 2012, pour disent-ils, manifester leur désaccord face à une décision de cette municipalité.
Les services de la Mairie d’Abobo ont été fermés aux usagers hier. Une situation qui a causé du tort à de nombreuses personnes qui n’ont pu s’y rendre pour des papiers administratifs. A l’origine de cette situation inattendue, le refus de certains transporteurs et syndicats de transporteurs de se plier à la décision de la municipalité, relative à la libération de la grande gare (Ndr: rond point d’Abobo) et de l’occupation de la nouvelle gare routière. Ceux qui ne souhaitent pas partir, pour des raisons diverses que des responsables municipaux qualifient d’infondées, ont usé de la violence, comme moyen pour intimider les collaborateurs du ministre-maire Adama Toungara. Ceux-ci trouvent trop onéreuse la nouvelle gare qui ne serait pas à la portée de leur bourse. Préférant rester là où ils ont toujours été, certains ont choisi de créer le désordre autour de la mairie, en s’attaquant parfois à des agents de cette municipalité. Face à l’ampleur de la violence et des menaces à l’encontre des travailleurs, il a été décidé de fermer les portes de la mairie. Du côté de la municipalité, force reste à la loi. Comme quoi, la nouvelle gare routière doit être occupée afin que cessent les attroupements au rond point qui ne donnent pas une bonne image à cette commune. Selon des sources proches de la mairie, ce sont des réfractaires à la modernité qui refusent de partir. Si non, expliquent-elles, les vrais transporteurs et syndicats majoritaires de la commune sont d’accord pour partir de l’ancienne gare routière d’Abobo et occuper la nouvelle qui a été inaugurée récemment.
HK
Les services de la Mairie d’Abobo ont été fermés aux usagers hier. Une situation qui a causé du tort à de nombreuses personnes qui n’ont pu s’y rendre pour des papiers administratifs. A l’origine de cette situation inattendue, le refus de certains transporteurs et syndicats de transporteurs de se plier à la décision de la municipalité, relative à la libération de la grande gare (Ndr: rond point d’Abobo) et de l’occupation de la nouvelle gare routière. Ceux qui ne souhaitent pas partir, pour des raisons diverses que des responsables municipaux qualifient d’infondées, ont usé de la violence, comme moyen pour intimider les collaborateurs du ministre-maire Adama Toungara. Ceux-ci trouvent trop onéreuse la nouvelle gare qui ne serait pas à la portée de leur bourse. Préférant rester là où ils ont toujours été, certains ont choisi de créer le désordre autour de la mairie, en s’attaquant parfois à des agents de cette municipalité. Face à l’ampleur de la violence et des menaces à l’encontre des travailleurs, il a été décidé de fermer les portes de la mairie. Du côté de la municipalité, force reste à la loi. Comme quoi, la nouvelle gare routière doit être occupée afin que cessent les attroupements au rond point qui ne donnent pas une bonne image à cette commune. Selon des sources proches de la mairie, ce sont des réfractaires à la modernité qui refusent de partir. Si non, expliquent-elles, les vrais transporteurs et syndicats majoritaires de la commune sont d’accord pour partir de l’ancienne gare routière d’Abobo et occuper la nouvelle qui a été inaugurée récemment.
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