La Fif doit prendre l’avis de la Conférence des présidents
Nul doute que le rendez-vous du 3 septembre 2012, aux Seychelles, marquera l’histoire de la Confédération africaine de football (Caf). C’est au cours de cette rencontre entre les 54 pays membres de la Caf que seront votées les deux propositions faites sur les conditions d’éligibilité à la présidence de l`instance fédérale du football africain. Depuis que ces propositions ont été portées à la connaissance des fédérations par les soins du secrétariat général de la Caf, c’est la levée de bois vert à travers le continent. De l’Angola en Afrique du Sud, en passant par le Sénégal, le Burkina Faso et autres, les voix s’élèvent pour dénoncer «le tripatouillage» des textes. La Fédération ivoirienne de football (Fif) ne s’est pas encore prononcée sur la question. Dans les milieux du football en Côte d’Ivoire, l’on pense que le président Sidy Diallo doit se référer à la Conférence des présidents de club grâce à qui il a été porté à la tête de la Fif. En d’autres termes, le président Sidy Diallo doit avant de se rendre à la rencontre de Seychelles, discuter des différents points à l’ordre du jour de cette Assemblée générale extraordinaire avec les acteurs du football ivoirien, vu leur caractère un peu particulier. Au terme des échanges, ceux-ci arrêteront une position claire et nette sur l’attitude à adopter vis-à-vis notamment des propositions en rapport avec les conditions d’éligibilité à la présidence de la Caf faites par la Fédération algérienne de football. C’est vrai que les clubs ont choisi Sidy Diallo pour les représenter partout, mais cela n’exclut pas qu’il fasse en sorte d’harmoniser les positions de l’organe fédéral et celles de la structure des présidents de club surtout sur les questions importantes comme celles à l’ordre du jour aux Seychelles. Le président de la Fif quitte Abidjan le 28 août, souhaitons qu’avant cette date, il se retrouve avec les présidents de club pour harmoniser les positions.
COULIBALY Vamara
Nul doute que le rendez-vous du 3 septembre 2012, aux Seychelles, marquera l’histoire de la Confédération africaine de football (Caf). C’est au cours de cette rencontre entre les 54 pays membres de la Caf que seront votées les deux propositions faites sur les conditions d’éligibilité à la présidence de l`instance fédérale du football africain. Depuis que ces propositions ont été portées à la connaissance des fédérations par les soins du secrétariat général de la Caf, c’est la levée de bois vert à travers le continent. De l’Angola en Afrique du Sud, en passant par le Sénégal, le Burkina Faso et autres, les voix s’élèvent pour dénoncer «le tripatouillage» des textes. La Fédération ivoirienne de football (Fif) ne s’est pas encore prononcée sur la question. Dans les milieux du football en Côte d’Ivoire, l’on pense que le président Sidy Diallo doit se référer à la Conférence des présidents de club grâce à qui il a été porté à la tête de la Fif. En d’autres termes, le président Sidy Diallo doit avant de se rendre à la rencontre de Seychelles, discuter des différents points à l’ordre du jour de cette Assemblée générale extraordinaire avec les acteurs du football ivoirien, vu leur caractère un peu particulier. Au terme des échanges, ceux-ci arrêteront une position claire et nette sur l’attitude à adopter vis-à-vis notamment des propositions en rapport avec les conditions d’éligibilité à la présidence de la Caf faites par la Fédération algérienne de football. C’est vrai que les clubs ont choisi Sidy Diallo pour les représenter partout, mais cela n’exclut pas qu’il fasse en sorte d’harmoniser les positions de l’organe fédéral et celles de la structure des présidents de club surtout sur les questions importantes comme celles à l’ordre du jour aux Seychelles. Le président de la Fif quitte Abidjan le 28 août, souhaitons qu’avant cette date, il se retrouve avec les présidents de club pour harmoniser les positions.
COULIBALY Vamara