Abidjan – Le président de la République, Alassane Ouattara va lancer officiellement mercredi à l’hôtel Ivoire (Cocody, Abidjan), le démarrage des travaux de la table ronde de deux jours visant la mobilisation de ressources pour la mise en œuvre du Programme national d’investissement agricole (PNIA) en Côte d’Ivoire.
Cette table ronde est menée par le ministère de l’Agriculture, en collaboration avec le ministère des Ressources animales et Halieutiques et le ministère des Eaux et Forêts, précise une note d’information du ministère de l’Agriculture transmise à l’AIP.
La Côte d’Ivoire a achevé l’élaboration du Plan d’investissement détaillé (PID) pour la mise en œuvre de son PNIA en mai 2012. Elle engage maintenant l’étape de mise en œuvre de ce programme, qui est évalué à 2002,818 milliards FCFA.
Le PNIA qui court jusqu’en 2015, se veut une réponse sectorielle cohérente, au besoin de coordination et de prévisibilité de l’action publique. Il est construit autour des principes de la participation de tous les acteurs; la synergie et la complémentarité des actions; la subsidiarité entre acteurs; et le recentrage de l’Etat dans ses fonctions de facilitation du développement.
Le PNIA a pour ambition non seulement de rattraper le retard accumulé au niveau des investissements publiques durant les 10 dernières années, mais aussi de jouer le rôle de catalyseur de l’investissement privé et associatif en vue de réaliser au moins 9% de croissance agricole à l’horizon 2020 (en d’autres termes, réaliser un taux de croissance de 9% du PIB agricole).
Les interventions du PNIA sont structurées autours de six programmes. Il s’agit de l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des productions agricoles; le développement des filières; l’amélioration de la gouvernance du secteur agricole; le renforcement des capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture; la gestion durable des ressources halieutiques; la réhabilitation forestière et relance de la filière bois.
Le schéma retenu pour le financement du PNIA assure une synergie d’action et une complémentarité entre les ressources budgétaires de l’Etat, les dons et prêts projets et les investissements directs privés. La contribution de l’Etat au financement du PNIA s’exprime soit en investissement direct, soit en dépenses fiscales. Cette contribution est évaluée à 195, 86 milliards FCFA. Les financements additionnels attendus des partenaires techniques et financiers et du secteur privé permettront à l’Etat de porter sa contribution à 15% du budget global.
Cette table ronde est menée par le ministère de l’Agriculture, en collaboration avec le ministère des Ressources animales et Halieutiques et le ministère des Eaux et Forêts, précise une note d’information du ministère de l’Agriculture transmise à l’AIP.
La Côte d’Ivoire a achevé l’élaboration du Plan d’investissement détaillé (PID) pour la mise en œuvre de son PNIA en mai 2012. Elle engage maintenant l’étape de mise en œuvre de ce programme, qui est évalué à 2002,818 milliards FCFA.
Le PNIA qui court jusqu’en 2015, se veut une réponse sectorielle cohérente, au besoin de coordination et de prévisibilité de l’action publique. Il est construit autour des principes de la participation de tous les acteurs; la synergie et la complémentarité des actions; la subsidiarité entre acteurs; et le recentrage de l’Etat dans ses fonctions de facilitation du développement.
Le PNIA a pour ambition non seulement de rattraper le retard accumulé au niveau des investissements publiques durant les 10 dernières années, mais aussi de jouer le rôle de catalyseur de l’investissement privé et associatif en vue de réaliser au moins 9% de croissance agricole à l’horizon 2020 (en d’autres termes, réaliser un taux de croissance de 9% du PIB agricole).
Les interventions du PNIA sont structurées autours de six programmes. Il s’agit de l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des productions agricoles; le développement des filières; l’amélioration de la gouvernance du secteur agricole; le renforcement des capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture; la gestion durable des ressources halieutiques; la réhabilitation forestière et relance de la filière bois.
Le schéma retenu pour le financement du PNIA assure une synergie d’action et une complémentarité entre les ressources budgétaires de l’Etat, les dons et prêts projets et les investissements directs privés. La contribution de l’Etat au financement du PNIA s’exprime soit en investissement direct, soit en dépenses fiscales. Cette contribution est évaluée à 195, 86 milliards FCFA. Les financements additionnels attendus des partenaires techniques et financiers et du secteur privé permettront à l’Etat de porter sa contribution à 15% du budget global.