ABIDJAN -- Les autorités sanitaires ivoiriennes ont engagé une lutte contre les hôpitaux clandestins du pays, a appris Xinhua mardi de source officielle.
La ministre ivoirienne de la Santé Thérèse Ndri Yoman a exprimé la volonté du gouvernement ivoirien d'assainir le secteur des établissements de soins médicaux.
Mme Ndri Yoman a révélé que plusieurs cliniques et centres de santé continuent de fonctionner en toute illégalité et menacé de prendre des mesures rigoureuses.
"Une enquête menée dans la commune de Yopougon (ouest d'Abidjan) par exemple a permis de se rendre compte que, sur plus de 381 établissements sanitaires recensés dans cette cité, plus de 70% ne disposent pas d'autorisation d'exercer", a-t-elle illustré.
"Nous avons enregistré de nombreuses plaintes concernant l'exercice illégal. Les établissements sanitaires sont appelés à se conformer à la réglementation et à se mettre à jour au risque d'être fermés", a-t-elle prévenu.
Les autorités sanitaires ont ainsi décidé de mettre sur pied une unité de contrôle et de surveillance composée de personnel civils et de policiers afin de traquer les cliniques "réfractaires".
La ministre ivoirienne de la Santé Thérèse Ndri Yoman a exprimé la volonté du gouvernement ivoirien d'assainir le secteur des établissements de soins médicaux.
Mme Ndri Yoman a révélé que plusieurs cliniques et centres de santé continuent de fonctionner en toute illégalité et menacé de prendre des mesures rigoureuses.
"Une enquête menée dans la commune de Yopougon (ouest d'Abidjan) par exemple a permis de se rendre compte que, sur plus de 381 établissements sanitaires recensés dans cette cité, plus de 70% ne disposent pas d'autorisation d'exercer", a-t-elle illustré.
"Nous avons enregistré de nombreuses plaintes concernant l'exercice illégal. Les établissements sanitaires sont appelés à se conformer à la réglementation et à se mettre à jour au risque d'être fermés", a-t-elle prévenu.
Les autorités sanitaires ont ainsi décidé de mettre sur pied une unité de contrôle et de surveillance composée de personnel civils et de policiers afin de traquer les cliniques "réfractaires".