Croyez-vous en la sincérité des chefs qui ont rencontré les autorités pour leur dire qu’ils ne sont pas de mèche avec les assaillants ?
C’est une démarche sincère parce qu’ici par exemple, ce sont les chefs eux-mêmes qui sont rentrés dans des maisons pour faire sortir les armes qui y étaient cachées. Ils n’auraient pas fait cela s’il n’y avait pas de sincérité.
Continuez-vous d’avoir des rencontres avec eux pour que le calme relatif qui est revenu demeure ?
Même ce midi (hier) j’ai eu une séance de travail avec les chefs et les présidents de jeunes de tous les villages. Je pense que les chefs sont vraiment engagés et ils font tout pour que Dabou retrouve son calme d’antan.
Ce n’est pas la première fois qu’ils désavouent les déstabilisateurs. Pourtant, des attaques ont eu lieu sur leurs terres. Qu’est-ce qui explique cela ?
Je crois que c’est parce qu’ils n’avaient pas de leaders. C’est ce qui leur manquait. Il n’y avait personne à leur tête pour prendre des initiatives. C’est ce qu’ils m’ont dit.
Maintenant c’est le cas ?
Oui, ici par exemple, je coordonne leurs actions. Les chefs ne savaient pas trop comment faire les démarches pour être reçus à la présidence, à l’Assemblée nationale. Ce n’est pas toujours évident. C’est ce qui leur a causé problème.
Entretien réalisé par BKI
C’est une démarche sincère parce qu’ici par exemple, ce sont les chefs eux-mêmes qui sont rentrés dans des maisons pour faire sortir les armes qui y étaient cachées. Ils n’auraient pas fait cela s’il n’y avait pas de sincérité.
Continuez-vous d’avoir des rencontres avec eux pour que le calme relatif qui est revenu demeure ?
Même ce midi (hier) j’ai eu une séance de travail avec les chefs et les présidents de jeunes de tous les villages. Je pense que les chefs sont vraiment engagés et ils font tout pour que Dabou retrouve son calme d’antan.
Ce n’est pas la première fois qu’ils désavouent les déstabilisateurs. Pourtant, des attaques ont eu lieu sur leurs terres. Qu’est-ce qui explique cela ?
Je crois que c’est parce qu’ils n’avaient pas de leaders. C’est ce qui leur manquait. Il n’y avait personne à leur tête pour prendre des initiatives. C’est ce qu’ils m’ont dit.
Maintenant c’est le cas ?
Oui, ici par exemple, je coordonne leurs actions. Les chefs ne savaient pas trop comment faire les démarches pour être reçus à la présidence, à l’Assemblée nationale. Ce n’est pas toujours évident. C’est ce qui leur a causé problème.
Entretien réalisé par BKI