La traite des enfants. Voilà un sujet qui a été toujours au cœur des
préoccupations des différents gouvernements. Pour l’enrayer
totalement, le chef de l’Etat a mandaté son épouse qui abat, déjà, un
travail remarquable sur le terrain.
La Côte d’Ivoire premier pays producteur du cacao au monde, a été
longtemps accusée, à tort d’exploiter les enfants dans les
plantations. Le Président de la République, Alassane Ouattara,
soucieux de la dignité et de la promotion humaine a décidé de
s’attaquer sans faiblesse au phénomène d’exploitation des enfants.
Ainsi donc, lors du passage de Hillary clinton à Abidjan, en début
d’année le chef de l’état à en plus des réformes profondes entreprise
dans la filière café-cacao, créé un comité spécial chargé de la lutte
contre le travail des enfants. Présidé par Dominique Ouattara, ledit
comité a pour mission fondamentale de faire disparaitre dans des
délais raisonnables ce phénomène qui n’honore nullement la Côte
d’Ivoire. A la tête de l’organisation non gouvernementale (ONG)
baptisée “ Children of Africa”, la Première Dame a, en maintes
occasions, fait montre de son grand humanisme, de sa disponibilité
constante et de sa permanente sollicitude. Expérimentée dans le
domaine des actions de proximité et de lobbying, la Première Dame n’a
pas attendu longtemps pour s’investir dans le combat contre la traite
des enfants. En Juillet dernier, au cours d’un séjour privé aux Etats
Unis et en Europe, celle que ses admirateurs rebaptisent “La blanche
colombe” a tout simplement émerveillé le monde entier par la
pertinence de sa vision sur le contenu de sa feuille de mission pour
réduire sinon éradiquer cette traite. L’on se rappelle qu’au cours de
ce séjour au pays de l’oncle Sam, les premiers pas jugés encourageants
de Dominique Ouattara dans le combat contre la traite des enfants lui
ont valu un prix. Une distinction qu’elle a perçue comme un aiguillon
pour intensifier son combat sur le terrain. Consciente que dans toute
lutte de ce genre, la phase de sensibilisation est déterminante, la
Première Dame ne lésine sur aucun moyen pour asseoir de grandes
campagnes de communication. Depuis trois mois environ, des panneaux
relatifs à la maltraitance des enfants, sont perceptibles à Abidjan et
à l’intérieur du pays. Le trait commun de tous ces panneau est, à n’en
point douter, la force des messages. Mais aussi les images bien
choisies qui ne laissent personne indifférent. Quand l’on sait les
ressources financières que necessitent pareil matraquage médiatique,
il n’y a pas de doutes sur l’engagement de la Première Dame. Elle ne
compte pas s’arrêter en si bon chemin, car plusieurs actions sont
prévues pour venir à bout de cette pernicieuse forme d’esclavage des
enfants. Dominique Ouattara projette d’aller à la rencontre des
populations dans les zones présentées comme celles pratiquant le plus
la traite des enfants. Des visites inopinées dans les ménages ne sont
pas exclues. Et tous ceux qui s’adonneront à cette pire forme
d’exploitation subiront la rigueur de la loi. Car, la Côte d’Ivoire,
dans sa législation, a prévu des infractions en la matière.
préoccupations des différents gouvernements. Pour l’enrayer
totalement, le chef de l’Etat a mandaté son épouse qui abat, déjà, un
travail remarquable sur le terrain.
La Côte d’Ivoire premier pays producteur du cacao au monde, a été
longtemps accusée, à tort d’exploiter les enfants dans les
plantations. Le Président de la République, Alassane Ouattara,
soucieux de la dignité et de la promotion humaine a décidé de
s’attaquer sans faiblesse au phénomène d’exploitation des enfants.
Ainsi donc, lors du passage de Hillary clinton à Abidjan, en début
d’année le chef de l’état à en plus des réformes profondes entreprise
dans la filière café-cacao, créé un comité spécial chargé de la lutte
contre le travail des enfants. Présidé par Dominique Ouattara, ledit
comité a pour mission fondamentale de faire disparaitre dans des
délais raisonnables ce phénomène qui n’honore nullement la Côte
d’Ivoire. A la tête de l’organisation non gouvernementale (ONG)
baptisée “ Children of Africa”, la Première Dame a, en maintes
occasions, fait montre de son grand humanisme, de sa disponibilité
constante et de sa permanente sollicitude. Expérimentée dans le
domaine des actions de proximité et de lobbying, la Première Dame n’a
pas attendu longtemps pour s’investir dans le combat contre la traite
des enfants. En Juillet dernier, au cours d’un séjour privé aux Etats
Unis et en Europe, celle que ses admirateurs rebaptisent “La blanche
colombe” a tout simplement émerveillé le monde entier par la
pertinence de sa vision sur le contenu de sa feuille de mission pour
réduire sinon éradiquer cette traite. L’on se rappelle qu’au cours de
ce séjour au pays de l’oncle Sam, les premiers pas jugés encourageants
de Dominique Ouattara dans le combat contre la traite des enfants lui
ont valu un prix. Une distinction qu’elle a perçue comme un aiguillon
pour intensifier son combat sur le terrain. Consciente que dans toute
lutte de ce genre, la phase de sensibilisation est déterminante, la
Première Dame ne lésine sur aucun moyen pour asseoir de grandes
campagnes de communication. Depuis trois mois environ, des panneaux
relatifs à la maltraitance des enfants, sont perceptibles à Abidjan et
à l’intérieur du pays. Le trait commun de tous ces panneau est, à n’en
point douter, la force des messages. Mais aussi les images bien
choisies qui ne laissent personne indifférent. Quand l’on sait les
ressources financières que necessitent pareil matraquage médiatique,
il n’y a pas de doutes sur l’engagement de la Première Dame. Elle ne
compte pas s’arrêter en si bon chemin, car plusieurs actions sont
prévues pour venir à bout de cette pernicieuse forme d’esclavage des
enfants. Dominique Ouattara projette d’aller à la rencontre des
populations dans les zones présentées comme celles pratiquant le plus
la traite des enfants. Des visites inopinées dans les ménages ne sont
pas exclues. Et tous ceux qui s’adonneront à cette pire forme
d’exploitation subiront la rigueur de la loi. Car, la Côte d’Ivoire,
dans sa législation, a prévu des infractions en la matière.