Des représentantes de femmes rurales de cinq pays d’Afrique de l’Ouest ont commémoré ce vendredi 21 septembre la journée internationale de la paix, à l’initiative du réseau d’appui à la citoyenneté des femmes rurales d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, RESACIFROAT. Cette commémoration a été le dernier moment d’un atelier de trois jours sur la contribution des femmes à la recherche de la paix au Sahel.
Venues de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Burkina Faso, l’ambition des femmes rurales de s’impliquer dans la recherche de la paix a été bien résumée et assez perceptible dans le thème de l’atelier des trois jours: « Femmes rurales, ensemble pour la paix au Sahel ». Parties du constat assez évident des nombreuses crises qui mettent à mal la paix dans cette région, les femmes rurales victimes avant tout, entendent s’impliquer dans les instances de médiation et de négociation.
En tant qu’organisation d’appui au renforcement des association de femmes rurales, travaillant à faire de ces associations de véritables cadre d’expression par des formation et des rencontres d’échanges, le RESACIFROAT a sacrifié à une nécessité en renforçant les capacités de ces femmes en matière de gestion non-violente des conflits. A tout prendre, les trois jours de formation ont fait de la vingtaine de représentantes des femmes rurales de véritables artisans de paix.
Dernier acte de l’atelier, les femmes ont célébré la journée internationale de la paix ce vendredi 21 septembre, avec des invités venus les soutenir. A leurs côtés pour la cérémonie de commémoration de cette journée presqu’ignorée, le ministre de la promotion de la femme, a saluée l’initiative de l’atelier. « Les hommes ont besoin des femmes à leurs côtés pour ramener la paix dans une sous-région en crise », a affirmer Honorine Sangaré, rappelant que la femme est par essence non violente. Elle a plaider pour l’occasion en faveur d’une gestion non violente des conflits, avec l’implication des femmes, et n’a pas manqué de souligner les efforts de médiation, dans la crise malienne, du président du Faso dont beaucoup estime qu’il rame à contre-courant.
A l’issu de leur atelier, et profitant de la présence du ministre Sangaré, les femmes ont d’ailleurs transmis un message au Président du Faso pour « exprimer leur souhait d’être prises en compte quand il y a des médiations et des négociations », a confié Rosalie Ouoba, présidente du RESACIFROAT.
Venues de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Burkina Faso, l’ambition des femmes rurales de s’impliquer dans la recherche de la paix a été bien résumée et assez perceptible dans le thème de l’atelier des trois jours: « Femmes rurales, ensemble pour la paix au Sahel ». Parties du constat assez évident des nombreuses crises qui mettent à mal la paix dans cette région, les femmes rurales victimes avant tout, entendent s’impliquer dans les instances de médiation et de négociation.
En tant qu’organisation d’appui au renforcement des association de femmes rurales, travaillant à faire de ces associations de véritables cadre d’expression par des formation et des rencontres d’échanges, le RESACIFROAT a sacrifié à une nécessité en renforçant les capacités de ces femmes en matière de gestion non-violente des conflits. A tout prendre, les trois jours de formation ont fait de la vingtaine de représentantes des femmes rurales de véritables artisans de paix.
Dernier acte de l’atelier, les femmes ont célébré la journée internationale de la paix ce vendredi 21 septembre, avec des invités venus les soutenir. A leurs côtés pour la cérémonie de commémoration de cette journée presqu’ignorée, le ministre de la promotion de la femme, a saluée l’initiative de l’atelier. « Les hommes ont besoin des femmes à leurs côtés pour ramener la paix dans une sous-région en crise », a affirmer Honorine Sangaré, rappelant que la femme est par essence non violente. Elle a plaider pour l’occasion en faveur d’une gestion non violente des conflits, avec l’implication des femmes, et n’a pas manqué de souligner les efforts de médiation, dans la crise malienne, du président du Faso dont beaucoup estime qu’il rame à contre-courant.
A l’issu de leur atelier, et profitant de la présence du ministre Sangaré, les femmes ont d’ailleurs transmis un message au Président du Faso pour « exprimer leur souhait d’être prises en compte quand il y a des médiations et des négociations », a confié Rosalie Ouoba, présidente du RESACIFROAT.