Les ministres de l’Agriculture de la Communauté économique de Etats de l’Afrique de l’ouest CEDEAO) ou leurs représentants sont réunis jeudi à Abidjan, dans le cadre de l’adoption et la validation du projet de création d’une réserve alimentaire régionale et des projets de textes réglementaires sur les engrais dans l’espace CEDEAO.
Cette réunion succède aux travaux effectués les deux derniers jours par les experts ouest Africains sur ces questions, en prélude à la session ministérielle.
Procédant à l’ouverture officielle de la réunion ministérielle qui se tient à l’hôtel Novotel (Plateau, Abidjan), le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, au nom du Premier ministre, s’est réjoui du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter cette rencontre, faisant observer que l’Afrique de l’ouest fait partie des régions où l’agriculture, notamment les productions vivrières, bénéficient le moins de soutiens.
Ce, « alors qu’il est notoire de constater que notre agriculture est dans l’impossibilité d’assurer, effectivement, la sécurité alimentaire pour des populations, garantir la souveraineté alimentaire de la région et réduire la dépendance vis-à-vis des importations, sans aucun soutien public », a souligné le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani.
Aussi, l’émissaire du Premier ministre, Me Jeannot Ahoussou-Koudio, a-t-il invité les ministres de l’Agriculture de la CEDEAO à des discussions porteuses d’espoir à l’heure où la politique agricole dans l’espace CEDEAO se construit et où sa mise en œuvre demande que des instruments juridiques soient mis en place.
Auparavant, le commissaire chargé de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eau de la CEDEAO, Dr Lapodini Marc Atouga avait situé l’importance des dossiers à examiner et valider, en l’occurrence le document portant cadre juridique et règlementaire régissant la commercialisation et le contrôle de la qualité des engrais en Afrique de l’ouest, et le dossier sur le projet de création d’une réserve alimentaire régionale.
Selon M. Atouga, ces deux projets, intimement liés, qui visent une productivité agricole durable dans la sous-région gagneraient à être mis en œuvre dans les meilleurs délais. Pour y parvenir, il a demandé aux partenaires techniques et financiers qui appuient déjà les deux secteurs clef d’intervention à continuer à coopérer avec l’institution ouest africaine, pour une meilleure coordination des activités dans la sous-région.
Le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa est membre de la délégation officielle ivoirienne présente à New York pour l’Assemblée générale des Nations Unies, un sommet en marge duquel se tient un important événement sur l’Initiative de la sécurité alimentaire et la nutrition (IG8) marqué par l’annonce de trois nouveaux accords sur l’IG8 avec la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso et le Mozambique, rappelle-t-on.
Cette réunion succède aux travaux effectués les deux derniers jours par les experts ouest Africains sur ces questions, en prélude à la session ministérielle.
Procédant à l’ouverture officielle de la réunion ministérielle qui se tient à l’hôtel Novotel (Plateau, Abidjan), le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, au nom du Premier ministre, s’est réjoui du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter cette rencontre, faisant observer que l’Afrique de l’ouest fait partie des régions où l’agriculture, notamment les productions vivrières, bénéficient le moins de soutiens.
Ce, « alors qu’il est notoire de constater que notre agriculture est dans l’impossibilité d’assurer, effectivement, la sécurité alimentaire pour des populations, garantir la souveraineté alimentaire de la région et réduire la dépendance vis-à-vis des importations, sans aucun soutien public », a souligné le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani.
Aussi, l’émissaire du Premier ministre, Me Jeannot Ahoussou-Koudio, a-t-il invité les ministres de l’Agriculture de la CEDEAO à des discussions porteuses d’espoir à l’heure où la politique agricole dans l’espace CEDEAO se construit et où sa mise en œuvre demande que des instruments juridiques soient mis en place.
Auparavant, le commissaire chargé de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eau de la CEDEAO, Dr Lapodini Marc Atouga avait situé l’importance des dossiers à examiner et valider, en l’occurrence le document portant cadre juridique et règlementaire régissant la commercialisation et le contrôle de la qualité des engrais en Afrique de l’ouest, et le dossier sur le projet de création d’une réserve alimentaire régionale.
Selon M. Atouga, ces deux projets, intimement liés, qui visent une productivité agricole durable dans la sous-région gagneraient à être mis en œuvre dans les meilleurs délais. Pour y parvenir, il a demandé aux partenaires techniques et financiers qui appuient déjà les deux secteurs clef d’intervention à continuer à coopérer avec l’institution ouest africaine, pour une meilleure coordination des activités dans la sous-région.
Le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa est membre de la délégation officielle ivoirienne présente à New York pour l’Assemblée générale des Nations Unies, un sommet en marge duquel se tient un important événement sur l’Initiative de la sécurité alimentaire et la nutrition (IG8) marqué par l’annonce de trois nouveaux accords sur l’IG8 avec la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso et le Mozambique, rappelle-t-on.