Le Réseau des étudiants en médecine de l'Afrique de l'Ouest (REMAO) a entamé, du 23 au 30 septembre, une évaluation des stratégies de mise en oeuvre par les pays de cette région pour l'atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (O MD) en matière de santé, a constaté jeudi l'agence Xinhua dans la capitale togolaise.
Il s'agit d'une rencontre de quelques 400 étudiants venus de onze pays de l'Afrique de l'ouest à savoir : Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal et Togo.
Ils débattent, en dix conférences scientifiques, notamment des problématiques de la mortalité maternelle et néonatale en milieu hospitalier, de la malnutrition chez les enfants de 0 à 5 ans en Afrique subsaharienne et de l'incitation à la mobilisation des ressources à l'interne au niveau de chaque pays pour soutenir davantage le secteur de la santé dans les priorités de développement.
Les conférences aborderont également la question de l'émigration des médecins présentée comme un sérieux fléau qui vide les pays ouest-africains de leurs compétences et aussi que la nécessité de l'introduction et promotion de la télémédecine dans cette sous-région en pleine mutation grâce aux nouvelles technologies de communication.
A son terme, la rencontre de Lomé relèvera les insuffisances et inadéquations des stratégies et suggèrera des pistes de leur renforcement afin de les rendre plus efficaces les politiques sanitaires des pays.
Elle s'achèvera avec des recommandations à l'endroit des pays ouest-africains sur notamment la création des conditions idoines et mesures incitatives pour encourager le retour des médecins émigrés et retenir au pays ceux en fin de formation ou déjà en activités.
Il s'agit d'une rencontre de quelques 400 étudiants venus de onze pays de l'Afrique de l'ouest à savoir : Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal et Togo.
Ils débattent, en dix conférences scientifiques, notamment des problématiques de la mortalité maternelle et néonatale en milieu hospitalier, de la malnutrition chez les enfants de 0 à 5 ans en Afrique subsaharienne et de l'incitation à la mobilisation des ressources à l'interne au niveau de chaque pays pour soutenir davantage le secteur de la santé dans les priorités de développement.
Les conférences aborderont également la question de l'émigration des médecins présentée comme un sérieux fléau qui vide les pays ouest-africains de leurs compétences et aussi que la nécessité de l'introduction et promotion de la télémédecine dans cette sous-région en pleine mutation grâce aux nouvelles technologies de communication.
A son terme, la rencontre de Lomé relèvera les insuffisances et inadéquations des stratégies et suggèrera des pistes de leur renforcement afin de les rendre plus efficaces les politiques sanitaires des pays.
Elle s'achèvera avec des recommandations à l'endroit des pays ouest-africains sur notamment la création des conditions idoines et mesures incitatives pour encourager le retour des médecins émigrés et retenir au pays ceux en fin de formation ou déjà en activités.