Le ministre des Affaires étrangères de Côte d'Ivoire, Daniel Kablan Duncan, a appelé mercredi à une action concertée de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (CEDEAO), de l'Union africaine et des Nations Unies pour débarrasser la région des fléaux qui l'accablent, dont les trafics de drogues et d'armes, la criminalité transfrontalière, le terrorisme et la piraterie.
« La sécurité de l'Afrique de l'Ouest est sérieusement mise à mal par des crises militaro-politiques orchestrées par des militaires et des mouvements rebelles ou terroristes, a estimé M. Kablan Duncan devant l'Assemblée générale de l'ONU. Il a rappelé que la CEDEAO travaillait inlassablement au retour de l'ordre constitutionnel et à la restauration de la démocratie au Mali et en Guinée-Bissau.Selon lui, si la situation s'est normalisée en Guinée-Bissau, elle reste très préoccupante dans le nord du Mali, où la CEDEAO envisage le déploiement d'une force militaire, à la demande du gouvernement malien, pour aider l'armée malienne à défendre l'intégrité territoriale du pays, dont la partie nord est tombée aux mains de groupes armés affiliés à Al Qaeda.
M. Kablan Duncan a souligné que l'envoi d'une telle force exigerait un appui conséquent de l'Union africaine, des Nations Unies et de tous les partenaires du développement.
« La sécurité de l'Afrique de l'Ouest est sérieusement mise à mal par des crises militaro-politiques orchestrées par des militaires et des mouvements rebelles ou terroristes, a estimé M. Kablan Duncan devant l'Assemblée générale de l'ONU. Il a rappelé que la CEDEAO travaillait inlassablement au retour de l'ordre constitutionnel et à la restauration de la démocratie au Mali et en Guinée-Bissau.Selon lui, si la situation s'est normalisée en Guinée-Bissau, elle reste très préoccupante dans le nord du Mali, où la CEDEAO envisage le déploiement d'une force militaire, à la demande du gouvernement malien, pour aider l'armée malienne à défendre l'intégrité territoriale du pays, dont la partie nord est tombée aux mains de groupes armés affiliés à Al Qaeda.
M. Kablan Duncan a souligné que l'envoi d'une telle force exigerait un appui conséquent de l'Union africaine, des Nations Unies et de tous les partenaires du développement.