L’argent est le nerf de la guerre. Et, pour les groupes armés qui parcourent l’Afrique centrale et la Corne de l’Afrique, l’adage est d’autant plus vrai. Si le contrôle des mines reste une traditionnelle manne financière, une autre est en train de s’imposer, liée à l’exploitation de la faune locale. Pour l’Armée de résistance du seigneur (LRA), les Shebab somaliens ou encore le M23 congolais, les éléphants et les gorilles sont autant de puits de dollars. suite de l'article sur Jeune Afrique
Économie Publié le samedi 29 septembre 2012 | Jeune Afrique