Je voudrais avant toute chose vous dire ma joie d'être parmi vous aujourd’hui et vous remercier très sincèrement d’avoir accepté notre invitation.
Permettez-moi d’abord de rendre un hommage tout particulier aux personnalités qui nous font l’honneur d’être présentes à cet atelier de renforcement des capacités du Corps Préfectoral, sur la question de la traite, de l’exploitation et du travail des enfants.
Messieurs les ministres d’Etat Hamed BAKAYOKO et Gilbert KAFANA KONE ainsi que madame la ministre Raymonde COFFIE,
Vos présences, sont pour nous le signe de l’engagement plein et entier du Gouvernement à lutter contre la traite des enfants, et nous en sommes très heureux. Soyez-en remerciés.
Je voudrais également remercier messieurs les ambassadeurs de Belgique du Nigeria et de France. Ainsi que Monsieur le représentant Résident de l’UNICEF qui est toujours à nos côtés, le BIT et toutes les ONG nationales et internationales qui nous soutiennent.
Mesdames et messieurs,
Distingués membres du Corps Préfectoral,
la disponibilité et l’engagement personnel de chacun de vous au cours de ces trois journées d’intenses travaux et de réflexion, vous ont permis d’arriver aux conclusions et recommandations qui viennent de nous être présentés.
Qu’il me soit permis de vous adresser mon entière satisfaction et mes remerciements pour le travail accompli.
Mesdames et messieurs les préfets,
Cet atelier est important à plus d’un titre :
D’une part, c’est une des recommandations essentielles du Plan D’action National 2012-2014;
Et d’autre part, cet atelier permettra à terme, d’établir une cartographie fiable de la traite des enfants dans notre Pays.
Par ailleurs, les réflexions que vous avez menées, témoignent de la nécessité de partage des informations, mais également de la médiatisation des textes fondamentaux qui encadrent la lutte contre la traite des enfants.
A ce sujet, l’un de nos principaux handicaps était le manque de coordination des données collectées et le manque de stratégie cohérente sur le travail des enfants.
Désormais, nous serons en mesure :
- d’informer et de sensibiliser les populations sur l’existence et la gravité du travail des enfants, par le biais des comités locaux que vous présidez ;
- d’améliorer la coordination des actions de lutte qui se font au niveau de vos différentes circonscriptions ;
- et d’assurer efficacement la prise en charge des enfants victimes, par le système de référence.
Mesdames et Messieurs,
La Côte d’Ivoire mérite de ne plus être montrée du doigt par les médias internationaux à cause de la traite des enfants, notamment dans les plantations de cacao.
Nous devons aider nos planteurs afin qu’aucun discrédit ne soit jeté sur leur travail.
Aucun effort n’est vain. Chaque action posée nous fait progresser dans la lutte et nous donne des résultats probants.
En effet, le département d’Etat Américain qui produit chaque année un rapport sur la traite des personnes dans le monde, vient de reclasser la Côte d’Ivoire dans la catégorie 2, signe de la récompense de nos efforts.
Enfin, nous devons demander aux parents de nos enfants de ne pas les utiliser pour des travaux dangereux.
Bien sûr, ils peuvent leur apprendre le métier qu’ils exercent, après les heures de classe, pour leur transmettre leur savoir, à condition que ces travaux ne soient pas dangereux et qu’ils soient véritablement socialisants.
Cependant, ces activités doivent se faire après les cours, car je rappelle que la place des enfants est sur les bancs de l’école.
Mesdames et messieurs les membres du corps préfectoral,
Vous venez de nous doter d’un document de référence, susceptible d’améliorer considérablement l’approche utilisée jusqu'à ce jour pour lutter contre le phénomène de la traite des enfants.
J’en suis particulièrement fière et j’appelle de tous mes vœux, la mise en œuvre effective de ses résolutions. Je vous invite à aller vers les sous-préfets pour leur transmettre notre message.
Je voudrais également, vous assurer de mon soutien total à lutter à vos côtés, pour qu’ensemble, nous fassions respecter les droits des enfants dans notre Pays.
En vous réitérant mes remerciements, je vous souhaite un bon retour dans vos circonscriptions respectives.
Je vous remercie.
Permettez-moi d’abord de rendre un hommage tout particulier aux personnalités qui nous font l’honneur d’être présentes à cet atelier de renforcement des capacités du Corps Préfectoral, sur la question de la traite, de l’exploitation et du travail des enfants.
Messieurs les ministres d’Etat Hamed BAKAYOKO et Gilbert KAFANA KONE ainsi que madame la ministre Raymonde COFFIE,
Vos présences, sont pour nous le signe de l’engagement plein et entier du Gouvernement à lutter contre la traite des enfants, et nous en sommes très heureux. Soyez-en remerciés.
Je voudrais également remercier messieurs les ambassadeurs de Belgique du Nigeria et de France. Ainsi que Monsieur le représentant Résident de l’UNICEF qui est toujours à nos côtés, le BIT et toutes les ONG nationales et internationales qui nous soutiennent.
Mesdames et messieurs,
Distingués membres du Corps Préfectoral,
la disponibilité et l’engagement personnel de chacun de vous au cours de ces trois journées d’intenses travaux et de réflexion, vous ont permis d’arriver aux conclusions et recommandations qui viennent de nous être présentés.
Qu’il me soit permis de vous adresser mon entière satisfaction et mes remerciements pour le travail accompli.
Mesdames et messieurs les préfets,
Cet atelier est important à plus d’un titre :
D’une part, c’est une des recommandations essentielles du Plan D’action National 2012-2014;
Et d’autre part, cet atelier permettra à terme, d’établir une cartographie fiable de la traite des enfants dans notre Pays.
Par ailleurs, les réflexions que vous avez menées, témoignent de la nécessité de partage des informations, mais également de la médiatisation des textes fondamentaux qui encadrent la lutte contre la traite des enfants.
A ce sujet, l’un de nos principaux handicaps était le manque de coordination des données collectées et le manque de stratégie cohérente sur le travail des enfants.
Désormais, nous serons en mesure :
- d’informer et de sensibiliser les populations sur l’existence et la gravité du travail des enfants, par le biais des comités locaux que vous présidez ;
- d’améliorer la coordination des actions de lutte qui se font au niveau de vos différentes circonscriptions ;
- et d’assurer efficacement la prise en charge des enfants victimes, par le système de référence.
Mesdames et Messieurs,
La Côte d’Ivoire mérite de ne plus être montrée du doigt par les médias internationaux à cause de la traite des enfants, notamment dans les plantations de cacao.
Nous devons aider nos planteurs afin qu’aucun discrédit ne soit jeté sur leur travail.
Aucun effort n’est vain. Chaque action posée nous fait progresser dans la lutte et nous donne des résultats probants.
En effet, le département d’Etat Américain qui produit chaque année un rapport sur la traite des personnes dans le monde, vient de reclasser la Côte d’Ivoire dans la catégorie 2, signe de la récompense de nos efforts.
Enfin, nous devons demander aux parents de nos enfants de ne pas les utiliser pour des travaux dangereux.
Bien sûr, ils peuvent leur apprendre le métier qu’ils exercent, après les heures de classe, pour leur transmettre leur savoir, à condition que ces travaux ne soient pas dangereux et qu’ils soient véritablement socialisants.
Cependant, ces activités doivent se faire après les cours, car je rappelle que la place des enfants est sur les bancs de l’école.
Mesdames et messieurs les membres du corps préfectoral,
Vous venez de nous doter d’un document de référence, susceptible d’améliorer considérablement l’approche utilisée jusqu'à ce jour pour lutter contre le phénomène de la traite des enfants.
J’en suis particulièrement fière et j’appelle de tous mes vœux, la mise en œuvre effective de ses résolutions. Je vous invite à aller vers les sous-préfets pour leur transmettre notre message.
Je voudrais également, vous assurer de mon soutien total à lutter à vos côtés, pour qu’ensemble, nous fassions respecter les droits des enfants dans notre Pays.
En vous réitérant mes remerciements, je vous souhaite un bon retour dans vos circonscriptions respectives.
Je vous remercie.