En face de l’Espace culturel Gambidi, une poubelle à ciel ouvert est en train de prendre forme. Elle est constituée par des plats jetables, des sachets d’eau usagers, des bidons de jus, des cartons usagers de verres jetables et d’autres immondices. Les principaux accusés, les organisateurs des différents lunchs de noces qui se tiennent dans le susdit espace chaque samedi.
En effet, ces derniers ont trouvé comme raccourci de « balancer » les encombrants déchets issus des fêtes nuptiales au pied du mur du Musée national pour ensuite prendre les jambes au cou, laissant la nature se débrouiller avec.
Sans être forcément heureux que des herbes poussent au bord du Musée, on peut cependant faire le constat qu’il n’y a point d’herbes là où ces déchets plastiques ont été logés. Une preuve immédiate et « palpable » des conséquences néfastes de ces « résidus nuptiaux » sur l’environnement, car apparemment, la pratique ne date pas d’aujourd’hui.
Aux organisateurs de ces bombances de bien vouloir ramener ce qu’ils ont emmené et aux responsables de l’Espace de bien vouloir rappeler à l’ordre ces pollueurs car, en plus de l’environnement, c’est l’image de cette référence de la culture burkinabè qui en pâtit. A bon conserveur de la nature, salut !
En effet, ces derniers ont trouvé comme raccourci de « balancer » les encombrants déchets issus des fêtes nuptiales au pied du mur du Musée national pour ensuite prendre les jambes au cou, laissant la nature se débrouiller avec.
Sans être forcément heureux que des herbes poussent au bord du Musée, on peut cependant faire le constat qu’il n’y a point d’herbes là où ces déchets plastiques ont été logés. Une preuve immédiate et « palpable » des conséquences néfastes de ces « résidus nuptiaux » sur l’environnement, car apparemment, la pratique ne date pas d’aujourd’hui.
Aux organisateurs de ces bombances de bien vouloir ramener ce qu’ils ont emmené et aux responsables de l’Espace de bien vouloir rappeler à l’ordre ces pollueurs car, en plus de l’environnement, c’est l’image de cette référence de la culture burkinabè qui en pâtit. A bon conserveur de la nature, salut !