Ce talent, il voulait l’étouffer parce qu’il n’y croyait pas trop. Kanga Eboué Théophile, comme tout jeune de son âge, rêvait d’être assis dans un bureau feutré…
Mais la passion pour l’art et spécialement le portrait a pris le dessus. Chaque matin, il débarque au grand carrefour de Koumassi avec son matériel et en plein air, pour réaliser des portraits. Une des raisons essentielles, d’ailleurs, de son existence sur la terre des hommes. Assis devant un trépied, crayon en main, il produit et reproduit les images, dessine les hommes, monte et modifie les images. Aucun passant en ces lieux ne peut ignorer sa présence. Arrêt obligatoire ! Des chefs d’œuvres qui forcent l’admiration.
Mais, ce jeune, la trentaine à peine a une histoire particulière et singulière avec le métier qu’il exerce. L’art est inné en lui. Kanga Théophile, appelé Théo par les intimes n’a fait aucune école des beaux arts. « Je n’ai pas étudié le portrait à l’école. Ce qui veut dire que je n’ai pas fais l’école des beaux arts. Je suis titulaire d’un BTS en informatique de gestion après un bac D. Avant le BTS, je me plaisais à faire des dessins. Et le plus souvent en rêve je dessinais. Mais, j’étouffais ce talent jusqu’à ce qu’après le BTS, je commence à prendre cela au sérieux .Je dessinais un peu depuis le cycle secondaire. Je n’ai pas eu de cours particulier », dira-t-il. Reconnaissant qu’il est difficile de vivre de son métier d’artiste sous nos tropiques, il avoue ne pas regretter de choisir ce métier dont il voue un culte sacro-saint. Théophile ne veut aucunement tomber dans l’autosatisfaction.
C’est pourquoi, il continue de se ‘’frotter ‘’ aux grands noms de l’art en Côte d’ Ivoire pour apprendre davantage.
Les expositions dans galeries d’arts, il en a fait. Cependant, il souhaite exposer encore plus et même au delà des frontières ivoiriennes pour exprimer ce talent qu’il voulait étouffer dès le départ. A la question de savoir quelle est son vœu le plus ardent, il répondra : avoir des mécènes qui m’aideront à faire connaitre mes œuvres et surtout remettre le portrait de l’international argentin Lionel Messi que j’ai réalisé, « parce que je l’admire beaucoup ».
Kanga Théophile vit donc pleinement sa passion et fait sienne la citation de Hegel « Rien de grand dans ce monde ne peut se faire sans passion »
F. TAKY
Mais la passion pour l’art et spécialement le portrait a pris le dessus. Chaque matin, il débarque au grand carrefour de Koumassi avec son matériel et en plein air, pour réaliser des portraits. Une des raisons essentielles, d’ailleurs, de son existence sur la terre des hommes. Assis devant un trépied, crayon en main, il produit et reproduit les images, dessine les hommes, monte et modifie les images. Aucun passant en ces lieux ne peut ignorer sa présence. Arrêt obligatoire ! Des chefs d’œuvres qui forcent l’admiration.
Mais, ce jeune, la trentaine à peine a une histoire particulière et singulière avec le métier qu’il exerce. L’art est inné en lui. Kanga Théophile, appelé Théo par les intimes n’a fait aucune école des beaux arts. « Je n’ai pas étudié le portrait à l’école. Ce qui veut dire que je n’ai pas fais l’école des beaux arts. Je suis titulaire d’un BTS en informatique de gestion après un bac D. Avant le BTS, je me plaisais à faire des dessins. Et le plus souvent en rêve je dessinais. Mais, j’étouffais ce talent jusqu’à ce qu’après le BTS, je commence à prendre cela au sérieux .Je dessinais un peu depuis le cycle secondaire. Je n’ai pas eu de cours particulier », dira-t-il. Reconnaissant qu’il est difficile de vivre de son métier d’artiste sous nos tropiques, il avoue ne pas regretter de choisir ce métier dont il voue un culte sacro-saint. Théophile ne veut aucunement tomber dans l’autosatisfaction.
C’est pourquoi, il continue de se ‘’frotter ‘’ aux grands noms de l’art en Côte d’ Ivoire pour apprendre davantage.
Les expositions dans galeries d’arts, il en a fait. Cependant, il souhaite exposer encore plus et même au delà des frontières ivoiriennes pour exprimer ce talent qu’il voulait étouffer dès le départ. A la question de savoir quelle est son vœu le plus ardent, il répondra : avoir des mécènes qui m’aideront à faire connaitre mes œuvres et surtout remettre le portrait de l’international argentin Lionel Messi que j’ai réalisé, « parce que je l’admire beaucoup ».
Kanga Théophile vit donc pleinement sa passion et fait sienne la citation de Hegel « Rien de grand dans ce monde ne peut se faire sans passion »
F. TAKY