ABIDJAN - La présidente liberien Ellen Johnson Shirleaf effectuera jeudi une visite de travail à Abidjan pour discuter avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, de la sécurité le long de leur frontière commune.
"Mme Johnson Shirleaf arrive à Abidjan dans le cadre de la coopération de la Côte d'Ivoire avec le Liberia en matière de sécurité", a indiqué la porte-parole intérimaire du gouvernement ivoirien, Raymonde Coffie, à l'issue d'un conseil des ministres tenu mercredi.
L'ouest de la Côte d'Ivoire, à la frontière avec le Liberia, est en proie à l'insécurité depuis la crise post-électorale de 2010 et 2011.
Depuis le mois de juin, une série d'attaques meurtrières visant des postes de contrôle de l'armée ivoirienne a été perpétrée à la frontière avec le Liberia, obligeant Ellen Johson Shirleaf a ordonné la fermeture de la frontière avec la Côte d'Ivoire le 8 juin avant de la rouvrir le 21 septembre.
Des milliers d'Ivoiriens et d'ex-combattants favorables à l'ex président Laurent Gbagbo se sont réfugiés au Liberia au lendemain de la crise post-électorale.
Le gouvernement ivoirien les a accusés d'être les auteurs des attaques à l'ouest dont l'une a coûté la vie à sept Casques bleus de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
En juin, les gouvernements ivoirien et libérien, l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire et la Mission des Nations unies au Liberia (Minul) ont décidé de coordonner leurs activités pour renforcer la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne.
Une quarantaine de miliciens ivoiriens soupçonnés d'être impliqués dans des crimes commis pendant la crise post-électorale ont été extradés du Liberia vers la Côte d'Ivoire.
"Mme Johnson Shirleaf arrive à Abidjan dans le cadre de la coopération de la Côte d'Ivoire avec le Liberia en matière de sécurité", a indiqué la porte-parole intérimaire du gouvernement ivoirien, Raymonde Coffie, à l'issue d'un conseil des ministres tenu mercredi.
L'ouest de la Côte d'Ivoire, à la frontière avec le Liberia, est en proie à l'insécurité depuis la crise post-électorale de 2010 et 2011.
Depuis le mois de juin, une série d'attaques meurtrières visant des postes de contrôle de l'armée ivoirienne a été perpétrée à la frontière avec le Liberia, obligeant Ellen Johson Shirleaf a ordonné la fermeture de la frontière avec la Côte d'Ivoire le 8 juin avant de la rouvrir le 21 septembre.
Des milliers d'Ivoiriens et d'ex-combattants favorables à l'ex président Laurent Gbagbo se sont réfugiés au Liberia au lendemain de la crise post-électorale.
Le gouvernement ivoirien les a accusés d'être les auteurs des attaques à l'ouest dont l'une a coûté la vie à sept Casques bleus de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
En juin, les gouvernements ivoirien et libérien, l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire et la Mission des Nations unies au Liberia (Minul) ont décidé de coordonner leurs activités pour renforcer la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne.
Une quarantaine de miliciens ivoiriens soupçonnés d'être impliqués dans des crimes commis pendant la crise post-électorale ont été extradés du Liberia vers la Côte d'Ivoire.