L’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade, demeure le leader incontesté du libéralisme panafricain, a estimé jeudi à Abidjan, le président du réseau du libéral africain, Dr Mamadou Lamine Bâ, avant d’ajouter que ‘’son jeune frère Alassane Ouattara’’, est considéré comme le prochain leader incontesté du libéralisme.
''Il était très difficile, il y a quelques années, de parler de libéralisme en Afrique. L’Afrique est sortie des indépendances avec des régimes socialisant. Pendant quarante ans, nous n’avons jamais pu sortir des chantiers de la dictature, des coups d’Etat et surtout de la pauvreté chronique qui est symbole de socialisme tout simplement’’, a expliqué Dr Bâ, lors des travaux du 58ème congrès de l’International Libéral qui ont démarré mercredi à Abidjan pour se poursuivre jusqu’au dimanche.
C’est dans les années 80, qu’un premier parti, le Parti démocratique sénégalais (PDS) créé et dirigé par Me Abdoulaye Wade a fait son entrée à l’Internationale Libérale.
‘’C’est lui, qui par la suite, a parrainé le RDR pour être membre de l’Internationale Libérale’’, a ajouté le président du réseau du libéral africain.
Selon lui, la jeunesse a un beau chantier avec des leaders charismatiques pour ‘’nous conduire vers le développement’’.
‘’Nous étions 12 partis il y a quelques années. Le Réseau libéral africain est devenu le plus grand regroupement de partis politiques d’Afrique avec près de 31 partis politiques. Je ne crois pas que les Socialistes aient fait autant, eux qui sont là depuis 1960’’, a-t-il conclu.
Des partenaires occidentaux notamment européens participent à ces assises d’Abidjan. Il s’agit notamment de la République fédérale d’Allemagne, représentée par le parti libéral allemand dont la ‘’machine de coopération politique est présentée ici la Fondation Friedrich Naumann’’ et dont le directeur Afrique a fait lui-même le déplacement.
La Fondation Westminster pour la démocratie qui est également le bras armé en matière de coopération politique internationale d’Angleterre, est représentée par un ministre du cabinet britannique, le ministre Don Foster.
L’ouverture officielle des travaux est prévue demain, vendredi, en présence du président ivoirien Alassane Ouattara et de son homologue sénégalais Macky Sall.
LS/cat/AP
''Il était très difficile, il y a quelques années, de parler de libéralisme en Afrique. L’Afrique est sortie des indépendances avec des régimes socialisant. Pendant quarante ans, nous n’avons jamais pu sortir des chantiers de la dictature, des coups d’Etat et surtout de la pauvreté chronique qui est symbole de socialisme tout simplement’’, a expliqué Dr Bâ, lors des travaux du 58ème congrès de l’International Libéral qui ont démarré mercredi à Abidjan pour se poursuivre jusqu’au dimanche.
C’est dans les années 80, qu’un premier parti, le Parti démocratique sénégalais (PDS) créé et dirigé par Me Abdoulaye Wade a fait son entrée à l’Internationale Libérale.
‘’C’est lui, qui par la suite, a parrainé le RDR pour être membre de l’Internationale Libérale’’, a ajouté le président du réseau du libéral africain.
Selon lui, la jeunesse a un beau chantier avec des leaders charismatiques pour ‘’nous conduire vers le développement’’.
‘’Nous étions 12 partis il y a quelques années. Le Réseau libéral africain est devenu le plus grand regroupement de partis politiques d’Afrique avec près de 31 partis politiques. Je ne crois pas que les Socialistes aient fait autant, eux qui sont là depuis 1960’’, a-t-il conclu.
Des partenaires occidentaux notamment européens participent à ces assises d’Abidjan. Il s’agit notamment de la République fédérale d’Allemagne, représentée par le parti libéral allemand dont la ‘’machine de coopération politique est présentée ici la Fondation Friedrich Naumann’’ et dont le directeur Afrique a fait lui-même le déplacement.
La Fondation Westminster pour la démocratie qui est également le bras armé en matière de coopération politique internationale d’Angleterre, est représentée par un ministre du cabinet britannique, le ministre Don Foster.
L’ouverture officielle des travaux est prévue demain, vendredi, en présence du président ivoirien Alassane Ouattara et de son homologue sénégalais Macky Sall.
LS/cat/AP
