Les conditions pour en bénéficier
Comme promis par le président Alassane Ouattara, les pasteurs des églises protestantes évangéliques pourraient, dès janvier 2013, entrer en possession d’un important fonds. Ce, pour financer leurs projets. Mais, pas à n’importe quelles conditions.
«1000 pasteurs pourront bénéficier à partir de janvier 2013 du programme de financement des projets de la part du gouvernement ivoirien ». L’information est du président de la Commission nationale des églises protestantes évangéliques de Côte d’Ivoire, le Bishop Kazi d’Azito, en charge de leur identification. Selon lui, c’est la contribution de l’Etat de Côte d’Ivoire pour la lutte contre la pauvreté. Puisque, pour lui, «le problème de l’église reste la pauvreté». Leur doléance a, on peut le dire aisément, rencontré une oreille attentive. Puisque, c’est un important fonds qui sera dégagé pour ce projet.
Les critères pour être élu
Cependant, pour en bénéficier, il a été demandé aux ministres de Dieu de se faire d’abord identifier. Ce, afin d’avoir leur Carte d’identité nationale de pasteur. Première condition pour faire partie des heureux élus. Avoir une idée claire de son projet, un certificat de résidence, la photocopie de sa carte nationale d’identité ou la photocopie de son attestation d’identité, constituent également d’autres conditions. Aussi, les noms et les numéros de téléphone de près de dix fidèles qui attestent que vous êtes pasteur sont-ils demandés. En plus de cela, la production de quatre photos d’identité est exigée. Concernant les femmes pasteurs, une banque dite ‘’Banque populaire des femmes est déjà sur le projet. Lancée en mars 2012, l’identification a permis d’identifier près de 15.000 pasteurs. Et depuis août 2012, c’est 500 lieux de prière des églises protestantes évangéliques qui ont été recensés. Notons que l’identification des lieux de prière annoncée par l'Etat ivoirien avait suscité beaucoup de polémiques au sein des protestants évangéliques. Ce qui n’était pas le cas chez les musulmans, les Catholiques et les églises d’origine africaine.
JULES CESAR
Comme promis par le président Alassane Ouattara, les pasteurs des églises protestantes évangéliques pourraient, dès janvier 2013, entrer en possession d’un important fonds. Ce, pour financer leurs projets. Mais, pas à n’importe quelles conditions.
«1000 pasteurs pourront bénéficier à partir de janvier 2013 du programme de financement des projets de la part du gouvernement ivoirien ». L’information est du président de la Commission nationale des églises protestantes évangéliques de Côte d’Ivoire, le Bishop Kazi d’Azito, en charge de leur identification. Selon lui, c’est la contribution de l’Etat de Côte d’Ivoire pour la lutte contre la pauvreté. Puisque, pour lui, «le problème de l’église reste la pauvreté». Leur doléance a, on peut le dire aisément, rencontré une oreille attentive. Puisque, c’est un important fonds qui sera dégagé pour ce projet.
Les critères pour être élu
Cependant, pour en bénéficier, il a été demandé aux ministres de Dieu de se faire d’abord identifier. Ce, afin d’avoir leur Carte d’identité nationale de pasteur. Première condition pour faire partie des heureux élus. Avoir une idée claire de son projet, un certificat de résidence, la photocopie de sa carte nationale d’identité ou la photocopie de son attestation d’identité, constituent également d’autres conditions. Aussi, les noms et les numéros de téléphone de près de dix fidèles qui attestent que vous êtes pasteur sont-ils demandés. En plus de cela, la production de quatre photos d’identité est exigée. Concernant les femmes pasteurs, une banque dite ‘’Banque populaire des femmes est déjà sur le projet. Lancée en mars 2012, l’identification a permis d’identifier près de 15.000 pasteurs. Et depuis août 2012, c’est 500 lieux de prière des églises protestantes évangéliques qui ont été recensés. Notons que l’identification des lieux de prière annoncée par l'Etat ivoirien avait suscité beaucoup de polémiques au sein des protestants évangéliques. Ce qui n’était pas le cas chez les musulmans, les Catholiques et les églises d’origine africaine.
JULES CESAR