De sa visite d’inspection vendredi 19 octobre 2012 sur les chantiers du futur échangeur de la Riviera 2, le Directeur des Operations de la Banque mondiale pour la Cote d’ivoire, le Togo, Bénin et Burkina Faso a tiré deux constats :
1- le bel ouvrage qui va décongestionner la circulation pour des milliers d’automobilistes abidjanais sera achevé au plus tard fin Août 2013.
2- La main d’œuvre de cette infrastructure est ivoirienne, ce qui prouve l’existence d’un vivier de compétences techniques locales dont il faut encourager la mise en valeur.
Ceux qui l’ont suivi ce vendredi sur le chantier de l’échangeur qui va couter un peu plus de 5 milliards de F CFA ont pu relever l’insistance de Madani M Tall sur la maitrise, le transfert de technologie et l’impact sur la dynamique de l’emploi. « Il ya quand même des compétences dans ce pays, quand je voie que la majorité des ingénieurs sur ce site sont ivoiriens, de surcroit formés dans des écoles ivoiriennes de renommée !» s’exclamait-il à chaque instant de la visite. Autre enseignement de cette courte visite, mais essentiel dans l’accélération des travaux : La patience des usagers de cet important axe qui dessert plusieurs zones de la capitale. Le Directeur des Operations leur promet un grand moment de fierté nationale lorsque les travaux de l’échangeur auront terminé dans une poignée de mois, dix tout au plus. Notons que l’échangeur de la Riviera II est financé par la Banque mondiale à travers le Projet d’urgence des infrastructures urbaines (Puiur).
1- le bel ouvrage qui va décongestionner la circulation pour des milliers d’automobilistes abidjanais sera achevé au plus tard fin Août 2013.
2- La main d’œuvre de cette infrastructure est ivoirienne, ce qui prouve l’existence d’un vivier de compétences techniques locales dont il faut encourager la mise en valeur.
Ceux qui l’ont suivi ce vendredi sur le chantier de l’échangeur qui va couter un peu plus de 5 milliards de F CFA ont pu relever l’insistance de Madani M Tall sur la maitrise, le transfert de technologie et l’impact sur la dynamique de l’emploi. « Il ya quand même des compétences dans ce pays, quand je voie que la majorité des ingénieurs sur ce site sont ivoiriens, de surcroit formés dans des écoles ivoiriennes de renommée !» s’exclamait-il à chaque instant de la visite. Autre enseignement de cette courte visite, mais essentiel dans l’accélération des travaux : La patience des usagers de cet important axe qui dessert plusieurs zones de la capitale. Le Directeur des Operations leur promet un grand moment de fierté nationale lorsque les travaux de l’échangeur auront terminé dans une poignée de mois, dix tout au plus. Notons que l’échangeur de la Riviera II est financé par la Banque mondiale à travers le Projet d’urgence des infrastructures urbaines (Puiur).