Bouaflé – Les fidèles musulmans de Bouaflé ont été invités à prendre le chemin de la réconciliation, vendredi, lors de la prière commémorant la fête de la Tabaski à la grande mosquée du quartier Dioulabougou.
"Aujourd’hui, la guerre est terminée, nous devons nous entendre et nous réconcilier", a indiqué le député commune de Bouaflé, Mme Koura Bakayoko, insistant sur la nécessité d’un climat de paix entre les habitants de Bouaflé.
"Il faut que nous vivions en parfaite harmonie comme dans les années 60 où il régnait une bonne cohésion sociale entre nos parents", a-t-elle souligné, remerciant les imams qui ont participé au retour de la paix en Côte d’Ivoire grâce à leurs prières.
Le préfet de Bouaflé, Alliali Kouadio, a rappelé les nombreuses attaques perpétrées contre la Côte d’Ivoire et demandé aux imams de prier pour les auteurs, afin que "Dieu change leur cœur pour qu’ils reviennent à la réconciliation prônée par le président Ouattara et déposent définitivement les armes".
Selon l’administrateur civil, la paix est à la portée des ivoiriens qui doivent désormais changer de comportement, afin que celle-ci ne s’éloigne plus jamais d’eux.
"Si nous pensons que c’est par les armes que nous allons régler nos problèmes, alors nous n’allons jamais retrouver cette paix, car il faut que vous sachiez que le temps de la guerre est terminé", a-t-il tranché.
Revenant sur la reprise des prochaines élections législatives à Bonon, à 30 km de Bouaflé, le préfet Alliali Kouadio a exhorté l’imamat à prier pour qu’elles se déroulent dans de meilleures conditions.
"Demandez au Tout-puissant de toucher les cœurs des politiciens pour que les élections se passent dans de bonnes conditions sans nous laisser un goût amer à l’image des deux dernières élections législatives", a-t-il souhaité.
Koura Bakayoko et Alliali Kouadio ont rappelé les nombreux chantiers entrepris par le président Ouattara, "signe que le pays est au travail".
Ils ont indiqué que ces travaux ne peuvent aboutir que s’il ne règne pas un climat de paix dans le pays.
"Aujourd’hui, la guerre est terminée, nous devons nous entendre et nous réconcilier", a indiqué le député commune de Bouaflé, Mme Koura Bakayoko, insistant sur la nécessité d’un climat de paix entre les habitants de Bouaflé.
"Il faut que nous vivions en parfaite harmonie comme dans les années 60 où il régnait une bonne cohésion sociale entre nos parents", a-t-elle souligné, remerciant les imams qui ont participé au retour de la paix en Côte d’Ivoire grâce à leurs prières.
Le préfet de Bouaflé, Alliali Kouadio, a rappelé les nombreuses attaques perpétrées contre la Côte d’Ivoire et demandé aux imams de prier pour les auteurs, afin que "Dieu change leur cœur pour qu’ils reviennent à la réconciliation prônée par le président Ouattara et déposent définitivement les armes".
Selon l’administrateur civil, la paix est à la portée des ivoiriens qui doivent désormais changer de comportement, afin que celle-ci ne s’éloigne plus jamais d’eux.
"Si nous pensons que c’est par les armes que nous allons régler nos problèmes, alors nous n’allons jamais retrouver cette paix, car il faut que vous sachiez que le temps de la guerre est terminé", a-t-il tranché.
Revenant sur la reprise des prochaines élections législatives à Bonon, à 30 km de Bouaflé, le préfet Alliali Kouadio a exhorté l’imamat à prier pour qu’elles se déroulent dans de meilleures conditions.
"Demandez au Tout-puissant de toucher les cœurs des politiciens pour que les élections se passent dans de bonnes conditions sans nous laisser un goût amer à l’image des deux dernières élections législatives", a-t-il souhaité.
Koura Bakayoko et Alliali Kouadio ont rappelé les nombreux chantiers entrepris par le président Ouattara, "signe que le pays est au travail".
Ils ont indiqué que ces travaux ne peuvent aboutir que s’il ne règne pas un climat de paix dans le pays.