Bouaké -La ville de Bouaké (centre, région du Gbèkè) est restée silencieuse et déserte, aux premières heures de la fête de la Tabaski célébrée ce vendredi, donnant un aspect de "ville morte" avec marchés, commerces et autres boutiques fermés.
Les grandes artères de la capitale de la paix, notamment la voie internationale menant à Katiola et celle traversant le marché principal de Bouaké, habituellement si encombrantes, sont restées jusqu’en début d’après-midi vides et inoccupées.
Les nombreux taxis et motos-taxis, aux bruits assourdissants, brillent également par leur absence dans la circulation.
Les gares routières sont vidées de leurs passagers et vendeurs ainsi que les maquis et points chauds, baromètres de l’état de gaieté de la ville.
Un constat qui contraste avec un jour de fête comme la Tabaski, une grande fête musulmane.
Quelques personnes justifient cette "froideur" par le fait que les populations, en majorité les femmes, sont préoccupées à la cuisson des mets dans les cuisines.
"Vous verrez que dès 15H, les rues seront bondées et la vie reprendra sont rythme et sa chaleur habituelle", fait savoir un taximètre attendant un client devant un des rares magasins ouverts au quartier Air France 1.
Les grandes artères de la capitale de la paix, notamment la voie internationale menant à Katiola et celle traversant le marché principal de Bouaké, habituellement si encombrantes, sont restées jusqu’en début d’après-midi vides et inoccupées.
Les nombreux taxis et motos-taxis, aux bruits assourdissants, brillent également par leur absence dans la circulation.
Les gares routières sont vidées de leurs passagers et vendeurs ainsi que les maquis et points chauds, baromètres de l’état de gaieté de la ville.
Un constat qui contraste avec un jour de fête comme la Tabaski, une grande fête musulmane.
Quelques personnes justifient cette "froideur" par le fait que les populations, en majorité les femmes, sont préoccupées à la cuisson des mets dans les cuisines.
"Vous verrez que dès 15H, les rues seront bondées et la vie reprendra sont rythme et sa chaleur habituelle", fait savoir un taximètre attendant un client devant un des rares magasins ouverts au quartier Air France 1.