Danané – Le vigile assurant la sécurité de la COOPEC de Danané a été découvert mort, la tête fracturée et ligoté à un montant du hangar de l’établissement financier, suite à une tentative de cambriolage dans la nuit du 17 au 18 octobre, a-t-on appris de source policière.
Les éléments de la police locale et un médecin légiste arrivés sur les lieux ont constaté l’effectivité de la mort de Jean Marie Toakeusse, né en 1969 à Kanta Blossé, qui laisse une veuve et deux orphelins inconsolables.
Devant, les portes inhabituellement closes de l’institution financière, les responsables arrivés à 7h 30, font appel à un autre vigile qui, par une voie détournée, pénètre dans la cour où il découvre l’horreur, son collègue mort, le crâne fracturé.
Selon le constat de la police, les malfrats seraient entrés dans la cour en escaladant le mur par l’arrière du bâtiment. Après une lutte âpre (des traces au sol l'attestant), les bandits l’ont maîtrisé et attaché à un poteau à l’aide d’un câble téléphonique et ses vêtements.
Après cela, ils ont eu accès à l’intérieur du bâtiment après avoir arraché l’antivol d’une des fenêtres.
Le coffre-fort étant bien sécurisé, ils n’ont pu avoir accès aux billets. C’est peut-être déçus de cet échec qu’ils ont dû assommer le vigile à l’aide d’une barre de fer, explique-t-on.
Avec ce deuxième assassinat en moins d’un mois, le problème de l’insécurité reste posé à Danané. Une enquête est ouverte à la police pour retrouver les auteurs.
(AIP)
eb/kkf/kp
(AIP)
Les éléments de la police locale et un médecin légiste arrivés sur les lieux ont constaté l’effectivité de la mort de Jean Marie Toakeusse, né en 1969 à Kanta Blossé, qui laisse une veuve et deux orphelins inconsolables.
Devant, les portes inhabituellement closes de l’institution financière, les responsables arrivés à 7h 30, font appel à un autre vigile qui, par une voie détournée, pénètre dans la cour où il découvre l’horreur, son collègue mort, le crâne fracturé.
Selon le constat de la police, les malfrats seraient entrés dans la cour en escaladant le mur par l’arrière du bâtiment. Après une lutte âpre (des traces au sol l'attestant), les bandits l’ont maîtrisé et attaché à un poteau à l’aide d’un câble téléphonique et ses vêtements.
Après cela, ils ont eu accès à l’intérieur du bâtiment après avoir arraché l’antivol d’une des fenêtres.
Le coffre-fort étant bien sécurisé, ils n’ont pu avoir accès aux billets. C’est peut-être déçus de cet échec qu’ils ont dû assommer le vigile à l’aide d’une barre de fer, explique-t-on.
Avec ce deuxième assassinat en moins d’un mois, le problème de l’insécurité reste posé à Danané. Une enquête est ouverte à la police pour retrouver les auteurs.
(AIP)
eb/kkf/kp
(AIP)