Danané - L’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) et l’Union européenne (UE), en partenariat avec le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, vont initier un projet de formation des réfugiés rapatriés volontaires de l’ouest.
Une délégation de l’ONUDI était le 20 octobre à Danané, en vue de présenter aux populations ce projet de formation qualifiante au profit de plusieurs jeunes et adultes, rapatriés de Guinée ou du Libéria.
Le projet, d’une durée de cinq ans, se déroulera par séquences de formation de 15 personnes d’un même domaine pendant trois à quatre mois, sans condition de niveau intellectuel ou d’âge.
"A leur sortie, les bénéficiaires seront installés sur les sites de leur choix", a expliqué Mme Elisabeth Schelhor, chargée de projets à l’ONUDI, indiquant que ce projet vise à prendre en charge, pour leur réinsertion, les populations de cette zone après la grave crise que le pays a traversée.
"Les apprenants ne se déplaceront pas, mais c’est plutôt les enseignants qui iront vers eux. Des sites rapprochés seront créés dans des villages centres", a-t-elle ajouté.
Selon le chef de délégation, M. Bleu Albert, Conseiller au ministère de l’Enseignement technique, en plus des métiers traditionnels tels que la menuiserie, la maçonnerie, il y aura également l’agriculture et l’élevage qui seront pris en compte.
(AIP)
eb/kkf/kp
(AIP)
Une délégation de l’ONUDI était le 20 octobre à Danané, en vue de présenter aux populations ce projet de formation qualifiante au profit de plusieurs jeunes et adultes, rapatriés de Guinée ou du Libéria.
Le projet, d’une durée de cinq ans, se déroulera par séquences de formation de 15 personnes d’un même domaine pendant trois à quatre mois, sans condition de niveau intellectuel ou d’âge.
"A leur sortie, les bénéficiaires seront installés sur les sites de leur choix", a expliqué Mme Elisabeth Schelhor, chargée de projets à l’ONUDI, indiquant que ce projet vise à prendre en charge, pour leur réinsertion, les populations de cette zone après la grave crise que le pays a traversée.
"Les apprenants ne se déplaceront pas, mais c’est plutôt les enseignants qui iront vers eux. Des sites rapprochés seront créés dans des villages centres", a-t-elle ajouté.
Selon le chef de délégation, M. Bleu Albert, Conseiller au ministère de l’Enseignement technique, en plus des métiers traditionnels tels que la menuiserie, la maçonnerie, il y aura également l’agriculture et l’élevage qui seront pris en compte.
(AIP)
eb/kkf/kp
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