Le 24 février prochain, les Ivoiriens seront convoqués dans les urnes pour élire leurs maires et Conseillers Régionaux. Dans les différentes localités, des candidats affichent déjà leurs ambitions. Amoakon Banga, qui brigue la mairie d’Abengourou, ne s’en cache pas. Il dit aller à ces élections pour se mettre au service de la population de la capitale de l’Indénié, avec ses 35 ans d’expérience de vie professionnelle.
Les élections municipales et régionales sont annoncées pour le 24 février prochain. Êtes-vous candidat à ces élections ?
Ecoutez, la décision du gouvernement de tenir ces élections locales le 24 février 2013, et celle d’avoir déterminé les périmètres des territoires concernés, suscitent beaucoup d’espoir pour nos populations à plusieurs titres. D’abord, parce que ces élections leur offrent l’opportunité de légitimer les équipes municipales qui vont gouverner nos cités. Je rappelle que ces élections devraient se tenir depuis 2005. Ensuite et surtout, ces consultations ouvrent de nouvelles perspectives pour le développement du territoire communal. Dans ce cadre, depuis près de deux ans, je suis sur le terrain à Abengourou avec une équipe de jeunes, de moins jeunes, de femmes pour recueillir leurs avis et pour leur offrir une alternative, une vision et un projet. Nous avons visité tout le territoire et les communautés dans toutes leurs composantes. A cet égard, je puis vous affirmer que leurs attentes et leur soif pour le changement sont immenses pour ne pas dire presqu’obsessionnelles. Ils sont déterminés à m’accompagner dans ma démarche. Oui, je suis candidat pour répondre à l’appel de toutes les couches sociales d’Abengourou. Oui, je suis candidat pour conduire une équipe composée majoritairement de jeunes et de femmes, pour la renaissance et pour l’émergence d’Abengourou. Oui, je suis candidat pour apporter à la cité mon expérience de plus de 35 années, en qualité de cadre dirigeant dans de grandes entreprises privées internationales et nationales. Oui, je suis candidat, parce que militant engagé au PDCI-RDA, dans ses mouvements de jeunesse estudiantines à l’étranger et ici en Côte d’Ivoire sans discontinuer, à Abengourou comme à Abidjan. Conseiller municipal entre 1990 et 1995, puis Conseiller général de 2002 jusqu’à ce jour, toujours aux côtés de mon aîné, le battant BOA Tiemele Edjampan. Je m’honore d’être aujourd’hui membre du Bureau politique du PDCI-RDA. Oui, je suis candidat pour offrir ma probité, en vue d’une allocation optimale des ressources de la ville.
Comment voyez-vous le rôle du maire, en tant que acteur de développement?
Elu de proximité, le maire doit être à l’écoute de ses concitoyens pour bâtir harmonieusement avec eux, une cité où il fait bon vivre dans un environnement sain, avec le déploiement d’infrastructures et d’équipements appropriés.
Quelles sont vos priorités, si vous accédez à la tête de cette municipalité ?
D’abord, assainir la ville pour que nos concitoyens respirent mieux. Ensuite, nous occuper des préoccupations des jeunes et des femmes. Je suis issu du monde agricole, nous allons explorer au profit des jeunes, le gisement d’emplois que représente ce secteur. Nous devons explorer le potentiel d’Abengourou, pour mettre en lumière l’attractivité de cette cité sur le plan économique, social et culturel.
Plusieurs candidatures sont enregistrées certainement pour le compte du PDCI-RDA, toute chose qui est de nature à réduire les chances de votre parti. Quelle est votre position à ce niveau ?
C’est la preuve du dynamisme de notre formation politique dans la région. Cependant, le parti doit se prononcer très rapidement sur le choix de la tête de liste, pour mettre fin aux supputations.
Qu’est ce que vous suggérerez à la Direction de votre parti pour éviter les frustrations dans le choix des candidats et préserver la cohésion au sein du PDCI-RDA ?
Il appartient au parti d’utiliser la méthode qui convient à nos us, sans perdre de vue les réalités du terrain.
Et si votre candidature n’est pas retenue ?
Je n’envisage pas cette éventualité qui prendrait le contre-pied, le désir profond exprimé par nos populations et les cadres de me voir à la tête de notre cité. Cependant, militant discipliné, je me plierai à la décision comme je l’ai fait en 2000 en faveur du maire actuel, qui du reste, s’était engagé à faire son dernier mandat.
Votre appel aux populations ?
Je voudrais d’abord leur exprimer ma reconnaissance pour le grand intérêt et le grand espoir qu’elles portent à l’alternative que je leur offre, et leur dis qu’ensemble nous ferons de grandes choses pour l’émergence d’Abengourou.
Réalisée par JERÔME N’DRI
Les élections municipales et régionales sont annoncées pour le 24 février prochain. Êtes-vous candidat à ces élections ?
Ecoutez, la décision du gouvernement de tenir ces élections locales le 24 février 2013, et celle d’avoir déterminé les périmètres des territoires concernés, suscitent beaucoup d’espoir pour nos populations à plusieurs titres. D’abord, parce que ces élections leur offrent l’opportunité de légitimer les équipes municipales qui vont gouverner nos cités. Je rappelle que ces élections devraient se tenir depuis 2005. Ensuite et surtout, ces consultations ouvrent de nouvelles perspectives pour le développement du territoire communal. Dans ce cadre, depuis près de deux ans, je suis sur le terrain à Abengourou avec une équipe de jeunes, de moins jeunes, de femmes pour recueillir leurs avis et pour leur offrir une alternative, une vision et un projet. Nous avons visité tout le territoire et les communautés dans toutes leurs composantes. A cet égard, je puis vous affirmer que leurs attentes et leur soif pour le changement sont immenses pour ne pas dire presqu’obsessionnelles. Ils sont déterminés à m’accompagner dans ma démarche. Oui, je suis candidat pour répondre à l’appel de toutes les couches sociales d’Abengourou. Oui, je suis candidat pour conduire une équipe composée majoritairement de jeunes et de femmes, pour la renaissance et pour l’émergence d’Abengourou. Oui, je suis candidat pour apporter à la cité mon expérience de plus de 35 années, en qualité de cadre dirigeant dans de grandes entreprises privées internationales et nationales. Oui, je suis candidat, parce que militant engagé au PDCI-RDA, dans ses mouvements de jeunesse estudiantines à l’étranger et ici en Côte d’Ivoire sans discontinuer, à Abengourou comme à Abidjan. Conseiller municipal entre 1990 et 1995, puis Conseiller général de 2002 jusqu’à ce jour, toujours aux côtés de mon aîné, le battant BOA Tiemele Edjampan. Je m’honore d’être aujourd’hui membre du Bureau politique du PDCI-RDA. Oui, je suis candidat pour offrir ma probité, en vue d’une allocation optimale des ressources de la ville.
Comment voyez-vous le rôle du maire, en tant que acteur de développement?
Elu de proximité, le maire doit être à l’écoute de ses concitoyens pour bâtir harmonieusement avec eux, une cité où il fait bon vivre dans un environnement sain, avec le déploiement d’infrastructures et d’équipements appropriés.
Quelles sont vos priorités, si vous accédez à la tête de cette municipalité ?
D’abord, assainir la ville pour que nos concitoyens respirent mieux. Ensuite, nous occuper des préoccupations des jeunes et des femmes. Je suis issu du monde agricole, nous allons explorer au profit des jeunes, le gisement d’emplois que représente ce secteur. Nous devons explorer le potentiel d’Abengourou, pour mettre en lumière l’attractivité de cette cité sur le plan économique, social et culturel.
Plusieurs candidatures sont enregistrées certainement pour le compte du PDCI-RDA, toute chose qui est de nature à réduire les chances de votre parti. Quelle est votre position à ce niveau ?
C’est la preuve du dynamisme de notre formation politique dans la région. Cependant, le parti doit se prononcer très rapidement sur le choix de la tête de liste, pour mettre fin aux supputations.
Qu’est ce que vous suggérerez à la Direction de votre parti pour éviter les frustrations dans le choix des candidats et préserver la cohésion au sein du PDCI-RDA ?
Il appartient au parti d’utiliser la méthode qui convient à nos us, sans perdre de vue les réalités du terrain.
Et si votre candidature n’est pas retenue ?
Je n’envisage pas cette éventualité qui prendrait le contre-pied, le désir profond exprimé par nos populations et les cadres de me voir à la tête de notre cité. Cependant, militant discipliné, je me plierai à la décision comme je l’ai fait en 2000 en faveur du maire actuel, qui du reste, s’était engagé à faire son dernier mandat.
Votre appel aux populations ?
Je voudrais d’abord leur exprimer ma reconnaissance pour le grand intérêt et le grand espoir qu’elles portent à l’alternative que je leur offre, et leur dis qu’ensemble nous ferons de grandes choses pour l’émergence d’Abengourou.
Réalisée par JERÔME N’DRI