Les victimes de la crise ivoirienne attendent beaucoup de l'enquête de la Cour pénale internationale. Cependant l'impression de poursuites partiales risque d'ébranler la crédibilité de la cour.
La Côte d’Ivoire sort à peine d’une crise profondément violente qui a atteint son paroxysme lors des violences postélectorales de novembre 2010, qui ont causé une grande souffrance à tous les groupes politiques, régionaux et religieux.
En octobre 2011, les juges de la Cour pénale internationale (CPI) —suite à une acceptation spéciale de la juridiction de la cour— ont approuvé la requête du procureur de la CPI d’ouvrir une enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis durant cette période.
suite de l'article sur Slate Afrique
La Côte d’Ivoire sort à peine d’une crise profondément violente qui a atteint son paroxysme lors des violences postélectorales de novembre 2010, qui ont causé une grande souffrance à tous les groupes politiques, régionaux et religieux.
En octobre 2011, les juges de la Cour pénale internationale (CPI) —suite à une acceptation spéciale de la juridiction de la cour— ont approuvé la requête du procureur de la CPI d’ouvrir une enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis durant cette période.
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