‘‘Il faut une bonne gestion entre les deux compagnies’’ Quels sont les enseignements que vous tirez de la naissance d’Air Côte d’Ivoire ? Comme toutes nos entreprises aériennes que nous avons eues jusqu’à maintenant, la problématique c’est d’abord la taille de nos compagnies, et aussi des trafics. Ce qu’on peut tirer de notre côté, c’est que c’est un domaine qui est très très spécial, mais il y a des défis qu’on peut toujours relever. Air Ivoire a déjà eu une expérience malheureuse, il y a beaucoup d’espoir dans ce qui nous a été présenté aujourd’hui par Air Côte d’Ivoire. Qu’est-ce que vous compter apporter à ce qui se pointe à l’horizon ? D’abord c’est d’essayer de travailler ensemble. Sénégal Airline-Air Côte d’Ivoire doivent travailler ensemble main dans la main en essayant de fédérer les forces, dans une concurrence saine et loyale, gagnant-gagnant où personne ne doit perdre. Nous pensons que c’est cette fédération d’énergie qui permettra de retrouver ce qu’on a perdu par le passé. A savoir la compagnie Air Afrique, même si ce n’est pas la même compagnie. Il faut une bonne gestion entre les deux compagnies pour que nous puissions travailler ensemble et définir ensemble nos politiques pour qu’aucune d’entre nous ne soit pénalisée.
Propos recueillis à Dakar par
Seriba Koné
Propos recueillis à Dakar par
Seriba Koné