La presse ivoirienne a largement commenté dans sa livraison de lundi le sommet extraordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique (CEDEAO) en annonçant que l’organisation sous régionale est prête à ‘’frapper’’ dans le Nord du Mali pour la reconquête de l’intégrité territoriale de ce pays ouest africain.
‘’Sommet extraordinaire sur le Mali, la CEDEAO prête à frapper’’, affiche le Patriote qui reprend des propos tenus hier par le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la CEDEAO.
‘’Unissons nos efforts pour mettre fin à la souffrance des Maliens’’, a-t-il lancé lors des travaux de ce sommet à Abuja.
Quand au président du Nigeria, Goodluck Jonathan, il a estimé que ‘’l’option militaire est nécessaire’’.
Dans les colonnes de le Jour Plus, le président Ouattara explique les raisons pour lesquelles ‘’nous devrons mettre fin à la menace terroriste’’.
‘’Crise au Mali, la CEDEAO lâche ses militaires’’, renchérit l’Expression expliquant que l’intervention militaire dans le Nord du Mali est désormais décidée.
Le probable transfèrement de l’ex-première Dame Simone Ehivet Gbagbo à la Haye, occupe également une place de choix dans les journaux parus ce lundi dans la capitale économique ivoirienne.
A ce propos, le Patriote titre que Simone Gbagbo sera auditionnée aujourd’hui à Odienné dans le Nord Ouest de la Côte d’Ivoire où elle est incarcérée depuis avril 2011 après la fin de la crise post-électorale.
L’Intelligent d’Abidjan parle d’une alerte rouge et semble savoir ce qui se ‘’trame’’ au sujet du ‘’transfèrement de Simone Gbagbo’’.
Ce journal renseigne également que pour l’extradition de Justin Katinan Koné, le porte parole en exil de Laurent Gbagbo, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara et le Vice président ghanéen ont échangé hier en marge du sommet de la CEDEAO.
Libération des prisonniers pro-Gbagbo, le Temps égraine dans ses colonnes les 4 grands ‘’chantages’’ du président Ouattara, quand l’Inter fait part des attentes des parents de Gbagbo.
S’agissant de la réconciliation nationale, Nord Sud Quotidien annonce que le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, veut rentrer au gouvernement.
Le confrère publie le document dans lequel l’opposition s’est exprimée en demandant notamment ‘’l’immunité’’.
LS/od/APA
‘’Sommet extraordinaire sur le Mali, la CEDEAO prête à frapper’’, affiche le Patriote qui reprend des propos tenus hier par le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la CEDEAO.
‘’Unissons nos efforts pour mettre fin à la souffrance des Maliens’’, a-t-il lancé lors des travaux de ce sommet à Abuja.
Quand au président du Nigeria, Goodluck Jonathan, il a estimé que ‘’l’option militaire est nécessaire’’.
Dans les colonnes de le Jour Plus, le président Ouattara explique les raisons pour lesquelles ‘’nous devrons mettre fin à la menace terroriste’’.
‘’Crise au Mali, la CEDEAO lâche ses militaires’’, renchérit l’Expression expliquant que l’intervention militaire dans le Nord du Mali est désormais décidée.
Le probable transfèrement de l’ex-première Dame Simone Ehivet Gbagbo à la Haye, occupe également une place de choix dans les journaux parus ce lundi dans la capitale économique ivoirienne.
A ce propos, le Patriote titre que Simone Gbagbo sera auditionnée aujourd’hui à Odienné dans le Nord Ouest de la Côte d’Ivoire où elle est incarcérée depuis avril 2011 après la fin de la crise post-électorale.
L’Intelligent d’Abidjan parle d’une alerte rouge et semble savoir ce qui se ‘’trame’’ au sujet du ‘’transfèrement de Simone Gbagbo’’.
Ce journal renseigne également que pour l’extradition de Justin Katinan Koné, le porte parole en exil de Laurent Gbagbo, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara et le Vice président ghanéen ont échangé hier en marge du sommet de la CEDEAO.
Libération des prisonniers pro-Gbagbo, le Temps égraine dans ses colonnes les 4 grands ‘’chantages’’ du président Ouattara, quand l’Inter fait part des attentes des parents de Gbagbo.
S’agissant de la réconciliation nationale, Nord Sud Quotidien annonce que le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, veut rentrer au gouvernement.
Le confrère publie le document dans lequel l’opposition s’est exprimée en demandant notamment ‘’l’immunité’’.
LS/od/APA