ABIDJAN -- La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao, accueille à partir de lundi à Abidjan la première conférence mondiale sur le cacao destinée à examiner les "défis stratégiques" auxquelles l'économie cacaoyère est confrontée afin de décider des actions à mettre en oeuvre.
"Nous sommes déjà prêts, les délégations, dont le gros lot arrive aujourd'hui, ont commencé à arriver depuis une semaine", a déclaré à la presse dimanche le ministre ivoirien de l'Agriculture, Coulibaly Sangafowa, à l'issue d'une visite des sites des travaux.
A l'aéroport et à l'hôtel Ivoire d'Abidjan, Coulibaly Sangafowa et ses homologues des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, et du Commerce, Dagobert Banzio, ont constaté par eux-mêmes les dispositions prises par le comité d'organisation.
Ils ont passé en revue les stands d'exposition et les salles retenues pour les travaux sans oublier les dispositifs d'accueil, de d'hébergement et de restauration des personnalités invitées.
Plus de 1.000 participants, notamment des représentants des pays producteurs et consommateurs, de hauts responsables des principales entreprises cacaoyères et chocolatières, des chercheurs et scientifiques et des organisations d'agriculteurs. Des analystes estiment que la cacaoculture est entrée dans une période de "déficit structurel" caractérisée par de faibles niveaux de productivité et de qualité, le vieillissement des exploitants et des vergers, la forte incidence des nuisibles et des maladies, l'utilisation réduite de pesticides et d'engrais, la concurrence d'autres produits de base tels l'hévéa et l'huile de palme.
La rencontre d'Abidjan qui va durer quatre jours doit déboucher sur l'adoption d'un "agenda global" pour une économie cacaoyère durable, l'adoption d'un "plan d'action stratégique" au niveau mondial avec des mesures spécifiques au niveau régional et national et la création d'un fonds pour le financement du "plan cacao".
La cérémonie d'ouverture de la Conférence mondiale sur le cacao sera présidée par le président ivoirien Alassane Ouattara.
"Nous sommes déjà prêts, les délégations, dont le gros lot arrive aujourd'hui, ont commencé à arriver depuis une semaine", a déclaré à la presse dimanche le ministre ivoirien de l'Agriculture, Coulibaly Sangafowa, à l'issue d'une visite des sites des travaux.
A l'aéroport et à l'hôtel Ivoire d'Abidjan, Coulibaly Sangafowa et ses homologues des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, et du Commerce, Dagobert Banzio, ont constaté par eux-mêmes les dispositions prises par le comité d'organisation.
Ils ont passé en revue les stands d'exposition et les salles retenues pour les travaux sans oublier les dispositifs d'accueil, de d'hébergement et de restauration des personnalités invitées.
Plus de 1.000 participants, notamment des représentants des pays producteurs et consommateurs, de hauts responsables des principales entreprises cacaoyères et chocolatières, des chercheurs et scientifiques et des organisations d'agriculteurs. Des analystes estiment que la cacaoculture est entrée dans une période de "déficit structurel" caractérisée par de faibles niveaux de productivité et de qualité, le vieillissement des exploitants et des vergers, la forte incidence des nuisibles et des maladies, l'utilisation réduite de pesticides et d'engrais, la concurrence d'autres produits de base tels l'hévéa et l'huile de palme.
La rencontre d'Abidjan qui va durer quatre jours doit déboucher sur l'adoption d'un "agenda global" pour une économie cacaoyère durable, l'adoption d'un "plan d'action stratégique" au niveau mondial avec des mesures spécifiques au niveau régional et national et la création d'un fonds pour le financement du "plan cacao".
La cérémonie d'ouverture de la Conférence mondiale sur le cacao sera présidée par le président ivoirien Alassane Ouattara.