Le Chef de l`Etat, Alassane Ouattara, a reçu, le vendredi 23 novembre 2012, au Palais présidentiel au Plateau, le corps diplomatique accrédité en Côte d`Ivoire. ``Il reste encore beaucoup de défis à relever notamment au niveau de la sécurité, de la relance économique, de la reconstruction des infrastructures sociales ainsi que de la réinsertion des ex-combattants et des ex-miliciens. C’est pourquoi, la Côte d’Ivoire sera toujours en initiative et restera résolument engagée avec l’appui de la Communauté internationale pour le retour définitif de la paix, de la stabilité et de la croissance économique. C’est dans cet esprit que nous nous attelons à la Réforme du secteur de la sécurité (Rss), à la conduite à son terme du Ddr et à l’équipement de nos forces de sécurité``, a-t-il rassuré ses hôtes. Il s`est aussi prononcé sur la situation en Afrique et dans le monde.
Le Cja-IB fait une suggestion à la Cpi
Dans une déclaration signée de son secrétaire général, Kader Doumbia, et publiée le 22 novembre 2012 à Paris, le Collectif pour la Justice sur l`assassinat du Général IB en Côte d’Ivoire (Cja-IB) s```étonne`` de la réaction du Ministre ivoirien de la Justice, Gnénéma Coulibaly à propos du mandat d`arrêt émis par la Cour pénale internationale (Cpi) contre Simone Gbagbo. ``Le Cja-IB, prend acte de ce mandat d’arrêt de la Cpi et encourage la Cpi à prendre ses responsabilités en rendant publics les mandats d’arrêts visant les proches du président Ouattara pour garder sa crédibilité et son impartialité dans le dossier Ivoirien``, mentionne la déclaration.
Une sélection de B.I.
Le Cja-IB fait une suggestion à la Cpi
Dans une déclaration signée de son secrétaire général, Kader Doumbia, et publiée le 22 novembre 2012 à Paris, le Collectif pour la Justice sur l`assassinat du Général IB en Côte d’Ivoire (Cja-IB) s```étonne`` de la réaction du Ministre ivoirien de la Justice, Gnénéma Coulibaly à propos du mandat d`arrêt émis par la Cour pénale internationale (Cpi) contre Simone Gbagbo. ``Le Cja-IB, prend acte de ce mandat d’arrêt de la Cpi et encourage la Cpi à prendre ses responsabilités en rendant publics les mandats d’arrêts visant les proches du président Ouattara pour garder sa crédibilité et son impartialité dans le dossier Ivoirien``, mentionne la déclaration.
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