PARIS - Les autorités françaises sont "mobilisées" et suivent "avec attention" la situation de Loïk Le Floch-Prigent, détenu à Lomé dans une affaire d`escroquerie, et dont l`épouse a affirmé qu`il était "tout près de mourir", a indiqué mercredi à l`AFP une source gouvernementale.
"Les autorités françaises sont mobilisées. Elles suivent avec attention l`évolution de sa situation", a indiqué cette source.
Loïk Le Floch-Prigent, ex-PDG d`Elf, "bénéficie de la protection consulaire comme tous les citoyens français dans une situation similaire", a-t-on précisé.
Dans une lettre destinée à l`Elysée et rendue publique mercredi, l`épouse de M. Le Floch-Prigent demande au président François Hollande d`obtenir la libération de son mari, affirmant qu`il "est tout près de mourir".
L`Elysée a confirmé à l`AFP que "le courrier a été reçu".
L`ex-PDG d`Elf, 69 ans, a été arrêté le 14 septembre à Abidjan puis transféré à Lomé, où il a été inculpé pour complicité d`escroquerie.
Loïk Le Floch-Prigent, qui souffre d`un cancer depuis 2004, "est aujourd`hui très gravement malade", a affirmé au micro de RTL son épouse, Marlène Le Floch-Prigent.
La justice togolaise, qui soupçonne l`ancien patron d`Elf d`être impliqué dans une affaire d`escroquerie internationale, exige une caution de 9 millions de dollars pour sa libération, une demande assimilée à une "rançon" par sa défense.
M. Le Floch Prigent avait été condamné en 2003 à 5 ans de prison dans l`affaire Elf et avait passé environ deux ans derrière les barreaux pour des malversations financières.
"Les autorités françaises sont mobilisées. Elles suivent avec attention l`évolution de sa situation", a indiqué cette source.
Loïk Le Floch-Prigent, ex-PDG d`Elf, "bénéficie de la protection consulaire comme tous les citoyens français dans une situation similaire", a-t-on précisé.
Dans une lettre destinée à l`Elysée et rendue publique mercredi, l`épouse de M. Le Floch-Prigent demande au président François Hollande d`obtenir la libération de son mari, affirmant qu`il "est tout près de mourir".
L`Elysée a confirmé à l`AFP que "le courrier a été reçu".
L`ex-PDG d`Elf, 69 ans, a été arrêté le 14 septembre à Abidjan puis transféré à Lomé, où il a été inculpé pour complicité d`escroquerie.
Loïk Le Floch-Prigent, qui souffre d`un cancer depuis 2004, "est aujourd`hui très gravement malade", a affirmé au micro de RTL son épouse, Marlène Le Floch-Prigent.
La justice togolaise, qui soupçonne l`ancien patron d`Elf d`être impliqué dans une affaire d`escroquerie internationale, exige une caution de 9 millions de dollars pour sa libération, une demande assimilée à une "rançon" par sa défense.
M. Le Floch Prigent avait été condamné en 2003 à 5 ans de prison dans l`affaire Elf et avait passé environ deux ans derrière les barreaux pour des malversations financières.