Pour sa 2ème visite d’Etat, le Président Alassane Ouattara a choisi le District du Zanzan. Précisément le Gontougo et le Bounkani. Deux zones «enclavées» et fortement «pauvres». En s’y rendant, Alassane Ouattara allait non seulement à la rencontre de son peuple, mais aussi et surtout, le Président ivoirien voulait impulser le développement de ces régions ‘’abandonnées à leur sort’’. Quatre jours durant (du 27 au 30 novembre), Alassane Ouattara a sillonné tous les coins et recoins du District du Zanzan pour délivrer un message d’espoir et de développement. De Bounan, en passant par Doropo, Téhini, Niassian, Sandégué, Transua, Koum Fao, Tanda et Bondoukou, Alassane Ouattara n’avait qu’une seule parole à la bouche : «la compassion» pour ses frères et sœurs du Gontougo et du Bounkani. «Nous avons besoin d’apporter notre solidarité à cette région mais de donner également un message d’espoir. C’est ce message que nous avons tenté de partager avec nos concitoyens. Je crois que ce message a été bien reçu : j’ai bon espoir que nous allons pouvoir améliorer les conditions de vie dans les années à venir dans cette région. J’ajoute que nous venons à l’Est après que nous ayons visité l’Ouest. L’Ouest a été le théâtre de beaucoup de meurtres, d’assassinats, de blessures et de souffrances. Et après l’Ouest, j’ai estimé que c’était à l’Est où la pauvreté est la plus grande que je devrais venir, pour apporter ma compassion aux populations. Et leur dire que nous faisons beaucoup pour diminuer cette souffrance. Je suis content d’avoir fait cette mission”, a estimé le Président de la République lors de la conférnce de presse de clôture de cet événement.
Un chef à l’écoute
de ses concitoyens
En bon chef d’Etat, Alassane Ouattara a écouté ses populations, pris le soin de déceler les péripéties auxquelles celles-ci sont confrontées au quotidien tout en apportant à chacune de leurs préoccupations, “ses solutions” à lui, pour un mieux-être de ses administrés. Mieux, en rencontrant les populations du Bounkani et du Gontougo, Alassane Ouattara s’acquittait d’une promesse de campagne par lui faite à son électorat du Zanzan. “Nous avons rencontré les populations et écouté leurs doléances. Nous avons également, ensemble, pu faire le point de la situation dans notre pays. J’ai été très ému de constater que beaucoup d’entre elles me disent que les choses ont commencé à s’améliorer. La situation et les conditions de vie vont s’améliorer davantage dans les prochains mois, puisqu’avec le Programme présidentiel d’urgence, nous avons prévu de réparer les pompes hydrauliques pour donner de l’eau potable. Que ce soit au niveau urbain qu’au niveau villageois, nous essayons d’améliorer le circuit d’électricité, de réhabiliter les écoles, les centres de santé, de donner des tables, des kits scolaires. Bref, il y a une légère amélioration. Je note que cela fait dix mois que nous avons mis en place ce programme et qu’on ne peut pas faire tout ce qu’il faut en dix-huit mois. Mais dans un an ou deux, il n’y aura plus de problèmes d’eau potable dans les localités concernées. Nous aurons réglé les problèmes d’électricité, construit de nouvelles écoles et la vie sera bien meilleure pour nos parents du Zanzan”, a promis le chef de l’Etat. Qui en moins de dix-neuf mois à la tête de la présidence a réalisé de grands projets aussi bien dans le Zanzan que partout en Côte d’Ivoire. “Il y a trois ans quand j’ai effectué ma tournée nationale, toutes les fois que j’arrivais chez les préfets et que je voulais laver mes mains, il n y avait jamais d’eau dans les robinets. Je n’ai pas fait une seule préfecture où j’ai pu avoir de l’eau provenir d’un robinet. Mais, cette fois-ci, il y avait de l’eau courante. Systématiquement, que ce soient chez des rois ou des particuliers, je me suis essayé à cet exercice et j’ai constaté que l’eau est là, en permanence. Cela démontre que de colossaux efforts ont été faits. Quelque chose a changé. En 2009, ici même à Bondoukou, quand je venais, c’est dans un seau d’eau qu’on m’envoyait de l’eau dans la baignoire. J’ai été très heureux de constater qu’à Doropo, il y a maintenant de l’eau dans les robinets. Les enfants de Doropo ont donc maintenant de l’eau et seront à l’abri de plusieurs maladies”, s’est réjoui le Président de la République.
Au moins 450 milliards
à investir dans
le Zanzan
D’importants investissements dont 178 milliards FCFA dans le seul département de Bondoukou et 450 milliards pour le développement du District du Zanzan sont annoncés. Depuis cette visite d’Etat et bien avant, avec les nombreux dons de la Première dame d’une valeur de plus de 400 millions Fcfa, le District du Zanzan respire la grande forme. Réparation de pompes villageoises, reprofilage des routes, 43 véhicules aux corps préfectoral et à l’administration du District du Zanzan, réhabilitation et construction de salles de classes, réhabilitation des centres de santé, adduction d’eau potable (...) avec de nombreux projets en vue dont la construction du pont sur la Comoé (les fonds sont déjà mobilisés), bitumage des grands axes Bondoukou-Soko, Bouna-Doropo, construction d’une université, construction d’un lycée de jeunes filles avec internat, l’interconnexion du réseau électrique avec le Ghana et la construction d’un pont sur la Volta. Toute chose qui ne peut être possible sans la réconciliation, le pardon et la justice. Mais au-delà, Alassane Ouattara compte sur un programme d’ensemble qui s’élève à 11000 milliards de francs cfa pour lesquels il aura la semaine prochaine, une réunion du groupe consultatif à Paris pour la mobilisation des ressources de financement de ce programme. En décidant de créer douze (12) districts tout en tenant compte des Districts autonomes de Yamoussoukro et d’Abidjan, le chef de l’Etat va fournir bientôt en personnes et en gestionnaires, les districts et ces personnalités, et auront rang de ministre. Surtout que le souci d’Alassane Ouattara est qu’il veut une décentralisation dont les Gouverneurs auront une vue d’ensemble sur la gestion de leurs Districts. ‘’Le District du Zanzan aura un Gouverneur qui aura en charge la gestion, le contrôle budgétaire avec toutes les structures qui l’accompagnent bien sûr, que ce soit un conseil général ou le maire. Mais je veux qu’on suive de près, l’utilisation des ressources publiques et que nous puissions avoir des résultats au bout du compte afin que chaque année, nous sachions ce que nous avons promis et ce que nous avons fait”, annonce le Président Ouattara qui compte ainsi lutter contre la gabégie et l’impunité.
Des hommes rompus
à la tâche
Durant toute la tournée, le chef de l’Etat avait à ses côtés, des hommes compétents. Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, président du comité d’organisation de la visite d’Etat, Kaba Nialé, ministre en charge de l’Économie auprès du Prmier ministre, première femme ministre de l’Économie et des Finances de Côte d’Ivoire, Hien Sié, DG du PAA et le ministre des Ressources animales et haluétiques, Adjoumani Kobénan. Un peu en retrait, mais tout aussi efficace, l’ONG Nation Forte de Hien Philippe, s’est battue pour redonner le sourire aux populations. Tous, autant qu’ils sont, n’ont ménagé aucun effort pour donner un cachet particulier à cette visite d’Etat qui restera dans les mémoires. “Bondoukou aspire à la modernité”, avait lancé le maire Kouakou Dapa Félix lors de son allocution peandant le grand meeting de Bondoukou. Car dit-il, “Alassane Ouatatra incarne la modernité”. A l’instar de Bondoukou, c’est la Côte d’Ivoire tout entière qui aspire au changement, au renouveau et au développement. Un conseil: si vous souhaitez recevoir le Président de la République dans votre département, si vous rêvez de la modernisation de votre région, si vous caressez le secret espoir de voir se lever sur votre département les ‘’solutions’’ du développement, prière vous adresser au ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, dixit, Alassane Ouattara.
A.Dedi
Un chef à l’écoute
de ses concitoyens
En bon chef d’Etat, Alassane Ouattara a écouté ses populations, pris le soin de déceler les péripéties auxquelles celles-ci sont confrontées au quotidien tout en apportant à chacune de leurs préoccupations, “ses solutions” à lui, pour un mieux-être de ses administrés. Mieux, en rencontrant les populations du Bounkani et du Gontougo, Alassane Ouattara s’acquittait d’une promesse de campagne par lui faite à son électorat du Zanzan. “Nous avons rencontré les populations et écouté leurs doléances. Nous avons également, ensemble, pu faire le point de la situation dans notre pays. J’ai été très ému de constater que beaucoup d’entre elles me disent que les choses ont commencé à s’améliorer. La situation et les conditions de vie vont s’améliorer davantage dans les prochains mois, puisqu’avec le Programme présidentiel d’urgence, nous avons prévu de réparer les pompes hydrauliques pour donner de l’eau potable. Que ce soit au niveau urbain qu’au niveau villageois, nous essayons d’améliorer le circuit d’électricité, de réhabiliter les écoles, les centres de santé, de donner des tables, des kits scolaires. Bref, il y a une légère amélioration. Je note que cela fait dix mois que nous avons mis en place ce programme et qu’on ne peut pas faire tout ce qu’il faut en dix-huit mois. Mais dans un an ou deux, il n’y aura plus de problèmes d’eau potable dans les localités concernées. Nous aurons réglé les problèmes d’électricité, construit de nouvelles écoles et la vie sera bien meilleure pour nos parents du Zanzan”, a promis le chef de l’Etat. Qui en moins de dix-neuf mois à la tête de la présidence a réalisé de grands projets aussi bien dans le Zanzan que partout en Côte d’Ivoire. “Il y a trois ans quand j’ai effectué ma tournée nationale, toutes les fois que j’arrivais chez les préfets et que je voulais laver mes mains, il n y avait jamais d’eau dans les robinets. Je n’ai pas fait une seule préfecture où j’ai pu avoir de l’eau provenir d’un robinet. Mais, cette fois-ci, il y avait de l’eau courante. Systématiquement, que ce soient chez des rois ou des particuliers, je me suis essayé à cet exercice et j’ai constaté que l’eau est là, en permanence. Cela démontre que de colossaux efforts ont été faits. Quelque chose a changé. En 2009, ici même à Bondoukou, quand je venais, c’est dans un seau d’eau qu’on m’envoyait de l’eau dans la baignoire. J’ai été très heureux de constater qu’à Doropo, il y a maintenant de l’eau dans les robinets. Les enfants de Doropo ont donc maintenant de l’eau et seront à l’abri de plusieurs maladies”, s’est réjoui le Président de la République.
Au moins 450 milliards
à investir dans
le Zanzan
D’importants investissements dont 178 milliards FCFA dans le seul département de Bondoukou et 450 milliards pour le développement du District du Zanzan sont annoncés. Depuis cette visite d’Etat et bien avant, avec les nombreux dons de la Première dame d’une valeur de plus de 400 millions Fcfa, le District du Zanzan respire la grande forme. Réparation de pompes villageoises, reprofilage des routes, 43 véhicules aux corps préfectoral et à l’administration du District du Zanzan, réhabilitation et construction de salles de classes, réhabilitation des centres de santé, adduction d’eau potable (...) avec de nombreux projets en vue dont la construction du pont sur la Comoé (les fonds sont déjà mobilisés), bitumage des grands axes Bondoukou-Soko, Bouna-Doropo, construction d’une université, construction d’un lycée de jeunes filles avec internat, l’interconnexion du réseau électrique avec le Ghana et la construction d’un pont sur la Volta. Toute chose qui ne peut être possible sans la réconciliation, le pardon et la justice. Mais au-delà, Alassane Ouattara compte sur un programme d’ensemble qui s’élève à 11000 milliards de francs cfa pour lesquels il aura la semaine prochaine, une réunion du groupe consultatif à Paris pour la mobilisation des ressources de financement de ce programme. En décidant de créer douze (12) districts tout en tenant compte des Districts autonomes de Yamoussoukro et d’Abidjan, le chef de l’Etat va fournir bientôt en personnes et en gestionnaires, les districts et ces personnalités, et auront rang de ministre. Surtout que le souci d’Alassane Ouattara est qu’il veut une décentralisation dont les Gouverneurs auront une vue d’ensemble sur la gestion de leurs Districts. ‘’Le District du Zanzan aura un Gouverneur qui aura en charge la gestion, le contrôle budgétaire avec toutes les structures qui l’accompagnent bien sûr, que ce soit un conseil général ou le maire. Mais je veux qu’on suive de près, l’utilisation des ressources publiques et que nous puissions avoir des résultats au bout du compte afin que chaque année, nous sachions ce que nous avons promis et ce que nous avons fait”, annonce le Président Ouattara qui compte ainsi lutter contre la gabégie et l’impunité.
Des hommes rompus
à la tâche
Durant toute la tournée, le chef de l’Etat avait à ses côtés, des hommes compétents. Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, président du comité d’organisation de la visite d’Etat, Kaba Nialé, ministre en charge de l’Économie auprès du Prmier ministre, première femme ministre de l’Économie et des Finances de Côte d’Ivoire, Hien Sié, DG du PAA et le ministre des Ressources animales et haluétiques, Adjoumani Kobénan. Un peu en retrait, mais tout aussi efficace, l’ONG Nation Forte de Hien Philippe, s’est battue pour redonner le sourire aux populations. Tous, autant qu’ils sont, n’ont ménagé aucun effort pour donner un cachet particulier à cette visite d’Etat qui restera dans les mémoires. “Bondoukou aspire à la modernité”, avait lancé le maire Kouakou Dapa Félix lors de son allocution peandant le grand meeting de Bondoukou. Car dit-il, “Alassane Ouatatra incarne la modernité”. A l’instar de Bondoukou, c’est la Côte d’Ivoire tout entière qui aspire au changement, au renouveau et au développement. Un conseil: si vous souhaitez recevoir le Président de la République dans votre département, si vous rêvez de la modernisation de votre région, si vous caressez le secret espoir de voir se lever sur votre département les ‘’solutions’’ du développement, prière vous adresser au ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, dixit, Alassane Ouattara.
A.Dedi