Pari réussi pour MT et l’UNJCI
Pour la soirée des Ebony 2012, l’UNJCI a lancé 1400 invitations. Un pari réussi par Traoré Moussa dit MT, président de l’UNJCI, qui a fait salle comble. Le Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire affichait complet. Il y avait également, du son, de la lumière, de la musique mais aussi et surtout, la crème des professionnels des médias y était fortement représentée.
Yves Zogbo Junior réclame une loi rétroactive
L’animateur émérite, Yves Zogbo Junior Kaloua, sacré meilleur animateur de Radio lors de l’un des Ebony précedents, réclame une loi rétroactive à Mme la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba-Lamine. Car, dit-il, «j’ai été Ebony sans maison».
Ismaël Isaac fait chanter le ministre Sidiki Konaté
Le reggae maker, Ismaël Isaac a enflammé le palais des congrès de l’Hôtel Ivoire à travers un mini concert qu’il a animé. Dès l’entame de son morceau éponyme « Magnou manko », le ministre Sidiki Konaté ne tenait plus sur son siège, le député de Tengréla, Traoré Mariame et Amadou Gbon Coulibaly dit ‘’Petit Amadou’’, pour ne citer que ceux-là, n’ont pu contenir leurs émotions en chantant en chœur avec l’artiste.
Tout y était pour la sécurité
L’UNJCI n’a pas lésiné sur les moyens pour assurer la protection des uns et des autres. Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), la Police nationale et les Sapeurs pompiers y étaient et veillaient au grain.
RTI 1 ou La première
Au lieu de ‘’RTI 1’’, appellation de la chaîne nationale de la télévision ivoirienne, Romy Roméo, ancien animateur de la maison bleue, répétait sans cesse ‘’La première’’, l’ancienne appellation de cette chaîne. Ce qui a emmené à des précisions indiquant qu’il faut plutôt dire RTI 1. Comme quoi, l’habitude est tenace.
Propos de quelques participants
Amos Béonao (ancien président de l’UNJCI) : ‘’Mes impressions sont bonnes’’
«Mes impressions sont bonnes, nous nous félicitons déjà de l’organisation du prix Ebony et de la pérennisation de l’œuvre. Nous sommes fiers que le prix Ebony qui a été institué par nos devanciers et que nous avons bonifié en 2004 à travers l’institution du « Super prix Ebony » qui donne droit à une villa, se poursuive. Je félicite l’UNJCI et Gnéproust qui a du talent et du métier. Bonne continuation pour tous les journalistes et que la presse soit plus revalorisée pour que l’excellence soit prônée dans notre pays et la liberté de la presse et la responsabilité de la presse soient de mise ».
Agnès Kraidy (journaliste à Fraternité Matin) : ‘’Je suis très heureuse de voir que les femmes prennent possession du métier’’
«Je voudrais déjà féliciter le président de l’UNJCI et ses collaborateurs pour avoir opté pour un concept qui nous permet de nous concentrer sur l’essentiel de l’événement, c’est-à-dire célébrer l’excellence dans notre métier. On a échappé aux cliquetis des verres et des couverts, donc du coup, il y a eu moins de bruits, mais malheureusement, on n’a pas su recentrer et gérer le temps de manière efficace. On peut recentrer le temps en deux heures chrono. Je me dis que c’est une première, on doit pouvoir améliorer le concept dans les années à venir, et encourager les vainqueurs et la super Ebony. L’année dernière, nous avons eu une femme, cette année nous avons une femme, moi en tant que femme, je suis très heureuse de voir que les femmes prennent possession du métier. Ce qui est motivant pour l’avenir. Aux prétendants au prix Ebony, le conseil que je prodigue est de faire sérieusement le métier avec passion. Ce métier est facile. C’est vrai qu’il est contraignant, il est épuisant, mais il est facile. Il a des règles très claires qui sont immuables depuis de longues années. Il suffit de bien le faire, mais surtout de beaucoup lire. Un journaliste qui ne lit pas, tourne en rond ».
César Etou (journaliste à Notre Voie,président de la commission permanente) : ‘’Il n’y a pas eu de murmures ni de contestations’’
«Ecoutez, moi je suis soulagé d’avoir conduit ces travaux jusqu’à terme. Je suis soulagé de voir qu’à la proclamation des résultats, il n’y a pas eu de murmures ni de contestations. Apparemment, ceux qui méritaient de gagner les prix, ont gagné. Nous pouvons donc, rentrer tranquillement avec le sentiment du travail bien accompli. Je félicite tous les lauréats et je leur dis bravo !».
Propos recueillis par A. Dedi et R. Dibi
Pour la soirée des Ebony 2012, l’UNJCI a lancé 1400 invitations. Un pari réussi par Traoré Moussa dit MT, président de l’UNJCI, qui a fait salle comble. Le Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire affichait complet. Il y avait également, du son, de la lumière, de la musique mais aussi et surtout, la crème des professionnels des médias y était fortement représentée.
Yves Zogbo Junior réclame une loi rétroactive
L’animateur émérite, Yves Zogbo Junior Kaloua, sacré meilleur animateur de Radio lors de l’un des Ebony précedents, réclame une loi rétroactive à Mme la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba-Lamine. Car, dit-il, «j’ai été Ebony sans maison».
Ismaël Isaac fait chanter le ministre Sidiki Konaté
Le reggae maker, Ismaël Isaac a enflammé le palais des congrès de l’Hôtel Ivoire à travers un mini concert qu’il a animé. Dès l’entame de son morceau éponyme « Magnou manko », le ministre Sidiki Konaté ne tenait plus sur son siège, le député de Tengréla, Traoré Mariame et Amadou Gbon Coulibaly dit ‘’Petit Amadou’’, pour ne citer que ceux-là, n’ont pu contenir leurs émotions en chantant en chœur avec l’artiste.
Tout y était pour la sécurité
L’UNJCI n’a pas lésiné sur les moyens pour assurer la protection des uns et des autres. Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), la Police nationale et les Sapeurs pompiers y étaient et veillaient au grain.
RTI 1 ou La première
Au lieu de ‘’RTI 1’’, appellation de la chaîne nationale de la télévision ivoirienne, Romy Roméo, ancien animateur de la maison bleue, répétait sans cesse ‘’La première’’, l’ancienne appellation de cette chaîne. Ce qui a emmené à des précisions indiquant qu’il faut plutôt dire RTI 1. Comme quoi, l’habitude est tenace.
Propos de quelques participants
Amos Béonao (ancien président de l’UNJCI) : ‘’Mes impressions sont bonnes’’
«Mes impressions sont bonnes, nous nous félicitons déjà de l’organisation du prix Ebony et de la pérennisation de l’œuvre. Nous sommes fiers que le prix Ebony qui a été institué par nos devanciers et que nous avons bonifié en 2004 à travers l’institution du « Super prix Ebony » qui donne droit à une villa, se poursuive. Je félicite l’UNJCI et Gnéproust qui a du talent et du métier. Bonne continuation pour tous les journalistes et que la presse soit plus revalorisée pour que l’excellence soit prônée dans notre pays et la liberté de la presse et la responsabilité de la presse soient de mise ».
Agnès Kraidy (journaliste à Fraternité Matin) : ‘’Je suis très heureuse de voir que les femmes prennent possession du métier’’
«Je voudrais déjà féliciter le président de l’UNJCI et ses collaborateurs pour avoir opté pour un concept qui nous permet de nous concentrer sur l’essentiel de l’événement, c’est-à-dire célébrer l’excellence dans notre métier. On a échappé aux cliquetis des verres et des couverts, donc du coup, il y a eu moins de bruits, mais malheureusement, on n’a pas su recentrer et gérer le temps de manière efficace. On peut recentrer le temps en deux heures chrono. Je me dis que c’est une première, on doit pouvoir améliorer le concept dans les années à venir, et encourager les vainqueurs et la super Ebony. L’année dernière, nous avons eu une femme, cette année nous avons une femme, moi en tant que femme, je suis très heureuse de voir que les femmes prennent possession du métier. Ce qui est motivant pour l’avenir. Aux prétendants au prix Ebony, le conseil que je prodigue est de faire sérieusement le métier avec passion. Ce métier est facile. C’est vrai qu’il est contraignant, il est épuisant, mais il est facile. Il a des règles très claires qui sont immuables depuis de longues années. Il suffit de bien le faire, mais surtout de beaucoup lire. Un journaliste qui ne lit pas, tourne en rond ».
César Etou (journaliste à Notre Voie,président de la commission permanente) : ‘’Il n’y a pas eu de murmures ni de contestations’’
«Ecoutez, moi je suis soulagé d’avoir conduit ces travaux jusqu’à terme. Je suis soulagé de voir qu’à la proclamation des résultats, il n’y a pas eu de murmures ni de contestations. Apparemment, ceux qui méritaient de gagner les prix, ont gagné. Nous pouvons donc, rentrer tranquillement avec le sentiment du travail bien accompli. Je félicite tous les lauréats et je leur dis bravo !».
Propos recueillis par A. Dedi et R. Dibi