Abidjan - Le premier ministre malien, Cheik Modibo Diarra, a annoncé mardi sa démission et celle de son gouvernement, quelques moments après avoir été interpellé par des militaires proches du capitaine Amadou Haya Sanogo qui a renversé, le 22 mars, le président Amadou Toumani Touré, a rapporté la presse internationale.
Le premier ministre qui a fait une brève allocution à la télévision nationale a simplement remercié ses collaborateurs et souhaité que "la nouvelle équipe" qui lui succédera réussisse sa mission dans un pays dont le nord du territoire est totalement occupé par des groupes islamistes armés.
Son allocution, avec un air grave et des traits tirés, est intervenue quelques heures après son arrestation à son domicile de Bamako par une vingtaine de militaires sur décision du capitaine de l’ancien chef des putschistes, précise la presse.
Cheick Modibo Diarra qui s’apprêtait à se rendre à Paris pour, explique-t-on, un contrôle médical, a été arrêté à son domicile alors que ses bagages se trouvaient déjà à l’aéroport.
Le chef du gouvernement malien s’est toujours exprimé en faveur d’une intervention rapide d’une force militaire internationale dans le nord du Mali, une position que le capitaine Amadou Sanogo a toujours combattu, a-t-on noté.
Le premier ministre Cheick Modibo Diarra qui dirigeait le gouvernement malien depuis fin avril, serait assigné en résidence surveillée.
Le premier ministre qui a fait une brève allocution à la télévision nationale a simplement remercié ses collaborateurs et souhaité que "la nouvelle équipe" qui lui succédera réussisse sa mission dans un pays dont le nord du territoire est totalement occupé par des groupes islamistes armés.
Son allocution, avec un air grave et des traits tirés, est intervenue quelques heures après son arrestation à son domicile de Bamako par une vingtaine de militaires sur décision du capitaine de l’ancien chef des putschistes, précise la presse.
Cheick Modibo Diarra qui s’apprêtait à se rendre à Paris pour, explique-t-on, un contrôle médical, a été arrêté à son domicile alors que ses bagages se trouvaient déjà à l’aéroport.
Le chef du gouvernement malien s’est toujours exprimé en faveur d’une intervention rapide d’une force militaire internationale dans le nord du Mali, une position que le capitaine Amadou Sanogo a toujours combattu, a-t-on noté.
Le premier ministre Cheick Modibo Diarra qui dirigeait le gouvernement malien depuis fin avril, serait assigné en résidence surveillée.