Bouaflé – Les élèves des établissements secondaires publics de Bouaflé ont décidé mardi de se mettre en congé, en délaissant leur classe pour manifester dans les rues afin de réclamer leurs notes de fin de trimestre.
« On veut nos notes, on veut nos notes !», scandaient des élèves, à travers les artères de la ville.
Interrogés par l’AIP, certains élèves ont affirmé qu’il n’avait rien contre les enseignants ni les responsables d’établissement mais ont exigé la remise de leurs notes, condition pour reprendre les cours.
D’autres par contre ont estimé que ces mouvements rappellent les années noires qu’a vécues l’école ivoirienne avec les troubles orchestrés par des élèves à la veille des congés de Noël. Ils ont invité leurs amis à regagner les salles de classe où quelques enseignants étaient encore présents pour dispenser les cours.
Malgré cet appel, plusieurs groupuscules d’élèves se sont dirigés vers d’autres établissements afin de déloger leurs camarades restés encore en salle pour suivre les cours.
Ces manifestations sont intervenues suite à la décision du Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (SYNESCI) de procéder à la rétention des notes afin d’obliger l’Etat de Côte d’Ivoire à se pencher sur les différentes revendications. Un mot d'ordre levé mercredi, sous conditions, près des tractations entre le SYNESCI et la ministre de l'Education nationale et de l'Enseignement technique, Kandia Camara.
zaar/cmas
« On veut nos notes, on veut nos notes !», scandaient des élèves, à travers les artères de la ville.
Interrogés par l’AIP, certains élèves ont affirmé qu’il n’avait rien contre les enseignants ni les responsables d’établissement mais ont exigé la remise de leurs notes, condition pour reprendre les cours.
D’autres par contre ont estimé que ces mouvements rappellent les années noires qu’a vécues l’école ivoirienne avec les troubles orchestrés par des élèves à la veille des congés de Noël. Ils ont invité leurs amis à regagner les salles de classe où quelques enseignants étaient encore présents pour dispenser les cours.
Malgré cet appel, plusieurs groupuscules d’élèves se sont dirigés vers d’autres établissements afin de déloger leurs camarades restés encore en salle pour suivre les cours.
Ces manifestations sont intervenues suite à la décision du Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (SYNESCI) de procéder à la rétention des notes afin d’obliger l’Etat de Côte d’Ivoire à se pencher sur les différentes revendications. Un mot d'ordre levé mercredi, sous conditions, près des tractations entre le SYNESCI et la ministre de l'Education nationale et de l'Enseignement technique, Kandia Camara.
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