Abidjan - Plusieurs enfants venus notamment du village SOS d’Abobo, du Bureau international catholique pour l’enfance, des EPP Cité policière 1 et 2 et de l’école Emmanuel Dioulo, ont reçu, ce jeudi, à la bibliothèque nationale d’Abidjan(Plateau), des livres comme cadeaux de noël, en prélude à la fête de noël, célébrée le 25 décembre.
Cette cérémonie baptisée "La Noël du livre" est une activité initiée par la direction du livre et de la lecture du ministère ivoirien de la culture et de la francophonie, afin de rassembler en un lieu, des enfants âgés de six à 12 ans, des parents et des professionnels du livre, pour une animation centrée sur le livre.
"En offrant des livres à la place des jouets à la veille de ces fêtes de fin d’année en ce Noël du livre, mon souhait est de rappeler à tous, autant que nous sommes ; éducateurs, parents, enfants, que le livre, le bon livre est un présent durable, présent dans les bibliothèques et la mémoire durant de longues années ; contrairement aux jouets qui se cassent ou se démodent, après quelques jours d’utilisation, et dont il ne reste pas souvent grande chose comme souvenir", a déclaré le représentant du ministre ivoirien de la culture et de la francophonie, Dembélé Fausséni, directeur de cabinet.
Selon le directeur du livre et de la lecture, Henri Mkomumo, cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’année du livre en Côte d’Ivoire, mis en oeuvre par le ministère, en vue de donner le goût de la lecture aux populations, "surtout aux enfants, qui sont la relève de demain".
"C’est un honneur de nous avoir associé à cet enjeu de la réconciliation nationale ; la lecture au travers de la poésie au service de notre cause nationale, pour le retour de la paix", a exprimé, Pr Ohouo Assépo, représentant du président du conseil économique et social, Zady Kessy, parrain de la cérémonie.
Cette cérémonie a été également marquée par la remise de prix et de lots, aux trois lauréats du concours national de poésie, sur le thème "Réconciliation nationale et cohésion sociale", notamment, Romani Maria Gabriella, épouse Kouakou, N’Gatta Sévérin et Lohourou Gnon Zougouri Guy Martial, des mains du président du jury, Charles Nokan, membre de l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines(ASCAD).
Cette cérémonie baptisée "La Noël du livre" est une activité initiée par la direction du livre et de la lecture du ministère ivoirien de la culture et de la francophonie, afin de rassembler en un lieu, des enfants âgés de six à 12 ans, des parents et des professionnels du livre, pour une animation centrée sur le livre.
"En offrant des livres à la place des jouets à la veille de ces fêtes de fin d’année en ce Noël du livre, mon souhait est de rappeler à tous, autant que nous sommes ; éducateurs, parents, enfants, que le livre, le bon livre est un présent durable, présent dans les bibliothèques et la mémoire durant de longues années ; contrairement aux jouets qui se cassent ou se démodent, après quelques jours d’utilisation, et dont il ne reste pas souvent grande chose comme souvenir", a déclaré le représentant du ministre ivoirien de la culture et de la francophonie, Dembélé Fausséni, directeur de cabinet.
Selon le directeur du livre et de la lecture, Henri Mkomumo, cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’année du livre en Côte d’Ivoire, mis en oeuvre par le ministère, en vue de donner le goût de la lecture aux populations, "surtout aux enfants, qui sont la relève de demain".
"C’est un honneur de nous avoir associé à cet enjeu de la réconciliation nationale ; la lecture au travers de la poésie au service de notre cause nationale, pour le retour de la paix", a exprimé, Pr Ohouo Assépo, représentant du président du conseil économique et social, Zady Kessy, parrain de la cérémonie.
Cette cérémonie a été également marquée par la remise de prix et de lots, aux trois lauréats du concours national de poésie, sur le thème "Réconciliation nationale et cohésion sociale", notamment, Romani Maria Gabriella, épouse Kouakou, N’Gatta Sévérin et Lohourou Gnon Zougouri Guy Martial, des mains du président du jury, Charles Nokan, membre de l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines(ASCAD).