Abidjan – Le directeur général du fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a expliqué mardi, aux étudiants de l’école nationale de la statistique et de l’économie appliquée (ENSEA) les conditions d’intervention de son institution qui fait l’objet de critiques de certaines opinions.
"Le FMI intervient quand il y a une crise et que les finances publiques ont été mal gérées", a indiqué Mme Christine Lagarde, reconnaissant que les "cures" de l’institution financière internationale sont insupportables et sont adoptées aux réalités de chaque pays et améliorées au fur et à mesure.
Selon le DG, le FMI, par ses programmes, aide les pays à se remettre sur le chemin de la croissance, à sur un chemin des finances publiques équilibrées.
Autant d’actions qui ont pour conséquence d’accroître la capacité de l’Etat à investir dans les infrastructures, dans l’éducation, dans la santé mais également d’aider les entreprises à investir et à créer des emplois, a déclaré Mme Lagarde.
"On essaie d’aider les fondamentaux de l’économie en se mettant au service des gouvernements sérieux qui veulent restaurer la situation pour permettre les conditions de l’investissement pour permettre le développement d’une croissance durable et inclusive et pour assainir les règles de gouvernance", a-t-elle poursuivi, reconnaissant que ces règles "parfois ne sont pas à la hauteur des ambitions économiques d’un pays".
Christine Lagarde s’est également appesantie sur les activités du Fonds notamment les missions de contrôle, les activités de prêts et l’assistance technique.
Recevant la patronne du FMI, le directeur général de l’ENSEA a présenté les missions et l’établissement qu’il dirige et qui a une vocation régional.
Plusieurs présents ont été offerts par les étudiants et les enseignants au directeur général du FMI au terme de cette table ronde.
(AIP)
kkf/kp
"Le FMI intervient quand il y a une crise et que les finances publiques ont été mal gérées", a indiqué Mme Christine Lagarde, reconnaissant que les "cures" de l’institution financière internationale sont insupportables et sont adoptées aux réalités de chaque pays et améliorées au fur et à mesure.
Selon le DG, le FMI, par ses programmes, aide les pays à se remettre sur le chemin de la croissance, à sur un chemin des finances publiques équilibrées.
Autant d’actions qui ont pour conséquence d’accroître la capacité de l’Etat à investir dans les infrastructures, dans l’éducation, dans la santé mais également d’aider les entreprises à investir et à créer des emplois, a déclaré Mme Lagarde.
"On essaie d’aider les fondamentaux de l’économie en se mettant au service des gouvernements sérieux qui veulent restaurer la situation pour permettre les conditions de l’investissement pour permettre le développement d’une croissance durable et inclusive et pour assainir les règles de gouvernance", a-t-elle poursuivi, reconnaissant que ces règles "parfois ne sont pas à la hauteur des ambitions économiques d’un pays".
Christine Lagarde s’est également appesantie sur les activités du Fonds notamment les missions de contrôle, les activités de prêts et l’assistance technique.
Recevant la patronne du FMI, le directeur général de l’ENSEA a présenté les missions et l’établissement qu’il dirige et qui a une vocation régional.
Plusieurs présents ont été offerts par les étudiants et les enseignants au directeur général du FMI au terme de cette table ronde.
(AIP)
kkf/kp