Capitaine, je suis très heureux d’apprendre que tu es en forme. Dans quelques jours, tu vas conduire, encore, le navire Ivoire au pays de Mandela. Depuis 2006, en effet, tu ne cesses de rendre heureux le peuple ivoirien. Nonobstant ta volonté, nous ne sommes pas encore parvenus à remporter le trophée. Et bientôt, ta génération prendra, peut être, sa retraite. Je n’ai jamais douté de ta grande force et de ton sens de devoir. Capi, tu n’as jamais abandonné tes camarades sur le rectangle vert. Le peuple ivoirien a toujours pleuré pour toi quand tu es en difficulté. Personnellement, j’ai été très fier de ta performance pendant la finale de la Ligue des champions européenne dernière. Les Ivoiriens n’ont jamais eu de mauvaises pensées contre toi. Aujourd’hui, ils ont un seul vœu : leur ramener la coupe.
Comme tu l’as fait pour les supporteurs de Chelsea. Inspire-toi de ton aîné Gadji Céli. Remobilise ta troupe. Dis lui le mot qu’il faut pour nous sauver. Transmets lui notre message d’amour et de fraternité. Dis lui que notre cœur a besoin de ce trophée pour amorcer véritablement la réconciliation. Dis lui que la victoire se trouve dans votre union, votre solidarité. Et surtout dans votre hargne, votre détermination. Lorsque vous foulerez les pelouses, ayez une grande pensée pour Nanan Houphouët et pour tous les Ivoiriens décédés depuis 2002. A vos ordres, mon Capitaine !
James Assendé
Comme tu l’as fait pour les supporteurs de Chelsea. Inspire-toi de ton aîné Gadji Céli. Remobilise ta troupe. Dis lui le mot qu’il faut pour nous sauver. Transmets lui notre message d’amour et de fraternité. Dis lui que notre cœur a besoin de ce trophée pour amorcer véritablement la réconciliation. Dis lui que la victoire se trouve dans votre union, votre solidarité. Et surtout dans votre hargne, votre détermination. Lorsque vous foulerez les pelouses, ayez une grande pensée pour Nanan Houphouët et pour tous les Ivoiriens décédés depuis 2002. A vos ordres, mon Capitaine !
James Assendé