L`ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, demeurera en prison. Hier vendredi 18 janvier 2013, la juge unique de la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI), Silvia Fernandez de Gurmendi, a rejeté la demande de libération conditionnelle, la demande de tenir une audience le lundi 21 janvier 2013, déposée par la défense le 12 novembre 2012. Selon une décision de la CPI piquée sur le site Event-News, relative à l`état de santé de Laurent Gbagbo, la juge unique argentine a ordonné « au Greffe de la liaison avec la Défense sur une base expéditive, afin de déterminer si ce traitement médical supplémentaire est nécessaire. Le cas échéant, répondre à la condition physique de M. Gbagbo et se mettre d`accord sur le choix d`un spécialiste pour le SSPT, sous réserve du consentement de M. Gbagbo ».
Par ailleurs, le 7 décembre 2012, la Défense avait déposé une requête concernant l`organisation d`une nouvelle conférence de mise en état portant sur les garanties proposées par l`Etat d`accueil de l`ancien président ivoirien. Dans cette requête, la Défense avait demandé à la juge Silvia Fernandez de Gurmendi d`organiser une audition le 21 janvier 2013, « en vue de discuter de la proposition faite par l`Etat hôte ». Mais arguant de la popularité du prisonnier Gbagbo et de l`importance de son réseau de partisans, la CPI a estimé que l`ex-président ivoirien ne pouvait pas recouvrer la liberté.
Hervé KPODION
Par ailleurs, le 7 décembre 2012, la Défense avait déposé une requête concernant l`organisation d`une nouvelle conférence de mise en état portant sur les garanties proposées par l`Etat d`accueil de l`ancien président ivoirien. Dans cette requête, la Défense avait demandé à la juge Silvia Fernandez de Gurmendi d`organiser une audition le 21 janvier 2013, « en vue de discuter de la proposition faite par l`Etat hôte ». Mais arguant de la popularité du prisonnier Gbagbo et de l`importance de son réseau de partisans, la CPI a estimé que l`ex-président ivoirien ne pouvait pas recouvrer la liberté.
Hervé KPODION