Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) s’est prononcé, samedi à Abidjan, pour l’accélération du ‘’rétablissement de l’intégrité territoriale du Mali’’.
‘'Il faut accélérer le rétablissement de l'intégrité territoriale du Mali avec le soutien de nos partenaires'', a déclaré M. Ouattara, à l'ouverture d'un sommet extraordinaire consacré à la crise malienne.
Il a également réclamé ''le redéploiement rapide'' des forces ouest africaines dont les premiers éléments ont commencé à fouler le sol malien.
Pour le président ivoirien, l'organisation sous-régionale ne pas doit pas ‘'faillir'' à ses engagements. ‘'Il faut aller au-delà du nombre actuel'' a-t-il préconisé en invitant l'Union africaine et l'ONU à ‘'susciter'' la participation d'un plus grand nombre de pays à la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA).
Appelant les autorités de la transition malienne à instaurer un ‘'dialogue inclusif'', le président Alassane Ouattara a rassuré que ‘'la CEDEAO (est) mobilisée aux côtés du peuple malien jusqu'au triomphe final''.
‘'La gestion de la crise malienne doit permettre de mobiliser les moyens pour éradiquer le terrorisme au Sahel'', a-ajouté le président en exercice de la CEDEAO.
Outre Alassane Ouattara, douze Chefs d'Etat participent à ces travaux consacrés à la crise malienne : Blaise Compaoré (Burkina Faso), Yayi Thomas Boni (Bénin), Good Luck Jonathan (Nigéria), Alpha Condé (Guinnée) Macky Sall (Sénégal), John Dramani Mahama (Ghana), Idriss Déby Itno (Tchad), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Ernest Bai Koroma (Sierra Leone), Issoufou Mahamadou (Niger), Manuel Serifo Nhamadjo (Guinée Bissau) et Dioncounda Traoré (Mali).
Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius, le représentant des Nations unies en Afrique de l'Ouest, Saïd Djinnit ainsi que le Haut représentant de l'Union africaine pour le Mali, Pierre Buyoya,
participent également aux travaux.
Le Togo et la Gambie sont représentés à un niveau ministériel.
LS/cat/APA
‘'Il faut accélérer le rétablissement de l'intégrité territoriale du Mali avec le soutien de nos partenaires'', a déclaré M. Ouattara, à l'ouverture d'un sommet extraordinaire consacré à la crise malienne.
Il a également réclamé ''le redéploiement rapide'' des forces ouest africaines dont les premiers éléments ont commencé à fouler le sol malien.
Pour le président ivoirien, l'organisation sous-régionale ne pas doit pas ‘'faillir'' à ses engagements. ‘'Il faut aller au-delà du nombre actuel'' a-t-il préconisé en invitant l'Union africaine et l'ONU à ‘'susciter'' la participation d'un plus grand nombre de pays à la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA).
Appelant les autorités de la transition malienne à instaurer un ‘'dialogue inclusif'', le président Alassane Ouattara a rassuré que ‘'la CEDEAO (est) mobilisée aux côtés du peuple malien jusqu'au triomphe final''.
‘'La gestion de la crise malienne doit permettre de mobiliser les moyens pour éradiquer le terrorisme au Sahel'', a-ajouté le président en exercice de la CEDEAO.
Outre Alassane Ouattara, douze Chefs d'Etat participent à ces travaux consacrés à la crise malienne : Blaise Compaoré (Burkina Faso), Yayi Thomas Boni (Bénin), Good Luck Jonathan (Nigéria), Alpha Condé (Guinnée) Macky Sall (Sénégal), John Dramani Mahama (Ghana), Idriss Déby Itno (Tchad), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Ernest Bai Koroma (Sierra Leone), Issoufou Mahamadou (Niger), Manuel Serifo Nhamadjo (Guinée Bissau) et Dioncounda Traoré (Mali).
Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius, le représentant des Nations unies en Afrique de l'Ouest, Saïd Djinnit ainsi que le Haut représentant de l'Union africaine pour le Mali, Pierre Buyoya,
participent également aux travaux.
Le Togo et la Gambie sont représentés à un niveau ministériel.
LS/cat/APA