ADDIS-ABEBA -- Les ministres des Affaires étrangères de l'Union africaine (UA) se sont réunis jeudi à Addis Abeba pour discuter des préparatifs du prochain sommet.
Le sommet de l'UA débutera dimanche sous le thème " panafricanisme et la renaissance africaine", après la réunion de deux jours des ministres des Affaires étrangères, qui vont élire deux membres de la Commission de l'UA (CUA).
S'exprimant devant les ministres, la présidente de la CUA, Nkosazana Dlamini Zuma a déploré que l'Afrique a vu des situations agitées dans la partie orientale de la République démocratique du Congo (RDC), en Guinée-Bissau, en République centrafricaine et au Mali, malgré des progrès réalisés en Somalie, au Soudan, au Soudan du Sud et à Madagascar.
"La persistance et la résurgence d'anciens conflits et le développement de nouvelles menaces à la sécurité nécessiteront toujours une attention urgente et ciblée, et en particulier de comprendre et de s'attaquer aux causes profondes des conflits," a- t-elle noté.
"À cet égard, nous devons accélérer l'opérationnalisation de la Force africaine en attente, de sorte que le continent aura la capacité de répondre rapidement, lorsque la situation l'exige", a- t-elle conclu.
Le sommet de l'UA débutera dimanche sous le thème " panafricanisme et la renaissance africaine", après la réunion de deux jours des ministres des Affaires étrangères, qui vont élire deux membres de la Commission de l'UA (CUA).
S'exprimant devant les ministres, la présidente de la CUA, Nkosazana Dlamini Zuma a déploré que l'Afrique a vu des situations agitées dans la partie orientale de la République démocratique du Congo (RDC), en Guinée-Bissau, en République centrafricaine et au Mali, malgré des progrès réalisés en Somalie, au Soudan, au Soudan du Sud et à Madagascar.
"La persistance et la résurgence d'anciens conflits et le développement de nouvelles menaces à la sécurité nécessiteront toujours une attention urgente et ciblée, et en particulier de comprendre et de s'attaquer aux causes profondes des conflits," a- t-elle noté.
"À cet égard, nous devons accélérer l'opérationnalisation de la Force africaine en attente, de sorte que le continent aura la capacité de répondre rapidement, lorsque la situation l'exige", a- t-elle conclu.
