Hier, Charles Dosso Rodel, Claude Gohourou et Idriss Ouattara, réfugiés ivoiriens résidant à Accra ont affirmé avoir échappé à un enlèvement. Une alerte a été donnée également au sujet de Don Mello et de Mosis Christian Pierre. Ces alertes ont donné l’occasion à Steve Beko, un autre exilé actif sur les réseaux sociaux de dénoncer des personnalités pro-Gbagbo ayant décidé de livrer leur camarade de lutte. Pendant ce temps, Touré Moussa Zéguen en début d’après-midi, a maintenu ses accusations de deal, citant un échange entre les exilés et les autorités ghanéennes.
Toutefois, l’ex-président du GPP a précisé n’avoir pas participé à cette réunion, tout en informant qu’il se prononcerait à partir de ce jour, dans la presse. Un peu plus tard, Watchard Kédjébo, à réitéré aux mots couverts les mêmes allégations dans les termes suivant sur son profil facebook : «Pour avoir le cœur net sur leur sécurité au Ghana, après l’affaire Blé Goudé, la coordination du Fpi a rencontré les autorités ghanéennes, mercredi 23 janvier 2013, en fin d’après-midi, pour que la lumière soit faite sur cette affaire. Les autorités ghanéennes et la Direction générale de la police ghanéenne ont rassuré la forte délégation ivoirienne que jamais le Ghana n’extradera, un Ivoirien vivant sur son territoire. Toutefois, elles ne peuvent s’opposer à la volonté d’un exilé qui désire rentrer dans son pays. Cette nouvelle a apaisé toute la communauté ivoirienne.
Toute notre reconnaissance au Ghana». A la suite de ce post sur Facebook qui pêche par son silence sur la qualité et la représentativité des interlocuteurs ghanéens des exilés d'une part , et d'autre part après la sortie des avocats au sujet des déclarations de Blé Goudé, relatives à son lieu de détention qui serait inconnu du détenu d'après ses déclarations aux avocats alors que rien n'indique que ses yeux ont été bandés lors de ses déplacements, plusieurs sources ont conclu : « il y a bel et bien un deal, mais il n’y a pas de trahison. L’affaire a été goupillée entre trois chefs d’Etat de la sous-région».
Ismaël Dembélé
Toutefois, l’ex-président du GPP a précisé n’avoir pas participé à cette réunion, tout en informant qu’il se prononcerait à partir de ce jour, dans la presse. Un peu plus tard, Watchard Kédjébo, à réitéré aux mots couverts les mêmes allégations dans les termes suivant sur son profil facebook : «Pour avoir le cœur net sur leur sécurité au Ghana, après l’affaire Blé Goudé, la coordination du Fpi a rencontré les autorités ghanéennes, mercredi 23 janvier 2013, en fin d’après-midi, pour que la lumière soit faite sur cette affaire. Les autorités ghanéennes et la Direction générale de la police ghanéenne ont rassuré la forte délégation ivoirienne que jamais le Ghana n’extradera, un Ivoirien vivant sur son territoire. Toutefois, elles ne peuvent s’opposer à la volonté d’un exilé qui désire rentrer dans son pays. Cette nouvelle a apaisé toute la communauté ivoirienne.
Toute notre reconnaissance au Ghana». A la suite de ce post sur Facebook qui pêche par son silence sur la qualité et la représentativité des interlocuteurs ghanéens des exilés d'une part , et d'autre part après la sortie des avocats au sujet des déclarations de Blé Goudé, relatives à son lieu de détention qui serait inconnu du détenu d'après ses déclarations aux avocats alors que rien n'indique que ses yeux ont été bandés lors de ses déplacements, plusieurs sources ont conclu : « il y a bel et bien un deal, mais il n’y a pas de trahison. L’affaire a été goupillée entre trois chefs d’Etat de la sous-région».
Ismaël Dembélé