Bongouanou - Le fondateur de l’établissement clandestin dénommé collège Saint-Joseph d’Andé, Achepo Raphaёl, a été arrêté et déféré à la prison civile de Bongouanou (région du Moronou) le 18 janvier, pour avoir escroqué plus de 10 millions de francs CFA aux parents d’élèves de la sous-préfecture d’Andé.
Un contrôle effectué le 23 octobre par les services de la direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique du Moronou a révélé que le collège Saint-Joseph ne dispose d’aucun document en règle, à savoir une autorisation de création, une autorisation d’ouverture et un code d’établissement.
Ayant été approché par la directrice régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique du Moronou, Dion Solange, en vue de fermer l’établissement, Achepo Raphaёl a continué les inscriptions. Il continuait aussi de percevoir les droits d’examen, les frais de transfert de dossier d’élèves en provenance d’autres établissement et les frais d’admission au concours d’entrée au CAFOP, à raison de 250 000 FCFA par individu, auprès de 20 personnes.
Cette situation finit par exacerber la directrice régionale qui saisit la direction du Service autonome pour l’encadrement de l’enseignement privé (SEEP) et le procureur de la République près le tribunal de Bongouanou afin de mettre fin aux activités du collège clandestin et de son fondateur. Soixante-dix élèves sont inscrits dans cet établissement, indique-t-on.
Un contrôle effectué le 23 octobre par les services de la direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique du Moronou a révélé que le collège Saint-Joseph ne dispose d’aucun document en règle, à savoir une autorisation de création, une autorisation d’ouverture et un code d’établissement.
Ayant été approché par la directrice régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique du Moronou, Dion Solange, en vue de fermer l’établissement, Achepo Raphaёl a continué les inscriptions. Il continuait aussi de percevoir les droits d’examen, les frais de transfert de dossier d’élèves en provenance d’autres établissement et les frais d’admission au concours d’entrée au CAFOP, à raison de 250 000 FCFA par individu, auprès de 20 personnes.
Cette situation finit par exacerber la directrice régionale qui saisit la direction du Service autonome pour l’encadrement de l’enseignement privé (SEEP) et le procureur de la République près le tribunal de Bongouanou afin de mettre fin aux activités du collège clandestin et de son fondateur. Soixante-dix élèves sont inscrits dans cet établissement, indique-t-on.